La chambre funéraire n’est pas un bâtiment comme un autre. Elle relève parfois du concept d’espace clos, propice au recueillement, protecteur des aléas de la vie courante. La famille Gay en a-t-elle eu conscience lorsqu’elle a conçu sa nouvelle chambre funéraire dans la vallée de l’Ay ? Peu importe… Mieux : rien n’est plus fort que le ressenti spontané. Il n’y a que cela qui marche vraiment.
Le premier crématorium du bassin d’Arcachon, le troisième en Gironde, il a été inauguré le 13 juin dernier à Biganos, en présence de Bruno Lafon, maire de Biganos, président de la COBAN, d'Alain Etchart, président du Groupe Etchart, de nombreux élus, de professionnels du secteur et d’amis. Le bâtiment se distingue par son style singulier. Tout de bois vêtu, il s’intègre parfaitement à la forêt environnante.
La Chambre de métiers et de l’artisanat de la Haute-Vienne œuvre à favoriser l’innovation dans le secteur funéraire.
Les PME funéraires du Grand Ouest ont été invitées pour la première fois par les fournisseurs à une après-midi de rencontres et de réflexions dans un lieu d’exception.
La quinzième édition de FUNERMOSTRA (Valencia Espagne) a fermé ses portes le 24 mai après trois jours riches en évènements qui ont attiré l’attention des professionnels du funéraire en provenance de divers pays, et en particulier de ceux d’Amérique latine.
Après avoir exercé dans les pompes funèbres dans l’Indre-et-Loire et la Vienne, la famille Blanchard (père et fille) ont opté pour la gestion d’un crématorium en mono-activité en abandonnant toute autre activité.
Découvrir les espaces de stockage, de préparation et de gravure, rencontrer les équipes basées au siège à Saint-Cyr-en-Val, mais également les commerciaux venus des quatre coins de la France, échanger de manière agréable aussi, autour d’un verre ou à l’occasion d’une soirée gastronomique et artistique, tels étaient les moments clés qui ont marqué le vingtième anniversaire de la société STONEST.
Le canton de Wormhout (Nord) souffrait jusqu’à peu d’une pénurie d’équipements funéraires, plus précisément de salles de cérémonie omni-culte et de salons de présentation ou de convivialité. Aujourd’hui, c’est chose résolue avec l’inauguration début juin - pour une ouverture à la fin du mois - du nouveau Centre funéraire des Hauts-de-France construit par le groupe Mazal FunérArts, dirigé par Cristelle Blanche Douard et David Timlelt.
FUNECAP Île-de-France a organisé une soirée au théâtre du Rond-Point, le lundi 13 mai dernier, où se jouait le spectacle écrit et joué par Yves Cusset "Rien ne sert d’exister".
Le 17 mai dernier se tenait l’Assemblée générale de la Chambre Syndicale Nationale de l’Art Funéraire (CSNAF), sous la conduite d’Aubin de Magnienville, président, et d’Anne Tourres, secrétaire générale. Ce fut l’occasion de prendre connaissance des principales activités passées et en cours, dont, entre autres, l’organisation du futur salon FUNÉRAIRE PARIS 2019, la participation régulière aux travaux du Conseil National des Opérations Funéraires (CNOF), et de découvrir une vie interne riche avec le succès du site Internet grand public et des réalisations de partenariats constructifs.
C’est avec une régularité quasi Suisse que la Ville de Mulhouse apporte des améliorations à son complexe funéraire pour adapter ses capacités de services aux familles.
Une dizaine de mois se sont écoulés depuis mon départ de Funéraire Magazine le 1er juillet dernier et je m’étais promis de tourner une page définitive sur cette activité.
Après une deuxième édition couronnée de succès, le salon professionnel Funeral Expo for Professionals, organisé à Bruxelles, confirme son statut d’évènement de référence pour le secteur des pompes funèbres.
La Fédération Française des Pompes Funèbres (FFPF) a récemment lancé une pétition afin que soient rendues obligatoires les housses mortuaires pour le transport avant mise en bière des corps des personnes décédées en toutes circonstances. La FFPF a entamé une démarche dans ce sens auprès du ministère de l’Intérieur et cette pétition vise à soutenir cette demande.
Proche des vignobles de Bourgogne, à proximité de Gevrey-Chambertin, le château de Saulon recevait la troisième édition du Funétour, le 18 avril dernier. Douze entreprises organisatrices – Le Voeu, Funéral Stores, ENAOS, YAMASOFT, Rivaud, France Funéraire, Frima Funéraire, Granits Michel Maffre, FUNICO, Arche Diffusion, FAPE Obsèques, Les Empreintes (1re fois) – accueillaient plus d’une soixantaine de pompes funèbres venant des quatre coins de la France.
Les premières Assises du deuil ont eu lieu comme pour les premières Assises du funéraire : au Sénat. À l’initiative cette fois-ci de l’association Empreintes. Avec l’appui précieux de la Chambre Syndicale Nationale de l’Art Funéraire (financement d’une réactualisation d’étude CRÉDOC sur le sujet), de l’association Klésia (protection et innovation sociales) et de l’OCIRP (fondation alimentée par des organismes de prévoyance). Cocktail classique pour un colloque classique, direz-vous ? Eh bien non, car vous n’y étiez pas et, en cela, vous avez bien eu tort car votre expertise et votre performance dépendent en partie des sujets évoqués ce jour-là.
Funé Grand Ouest, 1er salon des OFI en France, se tiendra le mardi 28 mai, à partir de 14h à Parigné.
La rénovation du Centre funéraire de Kerletu à Lorient (56) a nécessité cinq mois de travaux qui se sont déroulés en deux phases pour permettre la continuité de l’exploitation et du service public : en novembre et décembre derniers pour le bâtiment Argoat (partie datant de 2006), et de janvier à mars courants pour le bâtiment Armor (partie datant de l’origine et rénovée en 2008).
Miami Funer, du 13 au 15 mars, fut l’exposition événement international funéraire de ce début d’année. Rotastyle était présente au rendez-vous nord-américain comme entreprise internationale. L’occasion une fois de plus pour la célèbre marque italienne de présenter sa magnifique collection "L’arte del Prezioso Ricordo", une subtile combinaison de poésie, de talent et d’un savoir-faire exceptionnel. Voyage au pays du sublime…
Cette enquête vient d’avoir lieu durant un mois, de la mi-février à la mi-mars. Pendant cette période, les habitants étaient invités à se rendre à l’hôtel de ville et à faire part de leur position sur le sujet et/ou de leurs éventuelles réticences. C’est maintenant au commissaire enquêteur de rendre son rapport fondé sur ces avis émis, ce que celui-ci devrait faire courant avril.
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