Nous avons souhaitez recueillir votre ressenti au sujet du salon FUNEXPO 2018 qui fut notamment marqué par un retour de l’événement en novembre. Pour cela, rien de plus simple que d’interroger les exposants d’une manière peu chronophage et efficace… en trois questions. Bien sûr, si d'autres réponses nous parvenaient, nous les publierions dans notre prochaine parution. Alors… bonne lecture.
Vous étiez présent au salon FUNEXPO 2018… pour quelles raisons ?
Nous avions une nouveauté à présenter : le premier site de transports mortuaires partagé à destination des pompes funèbres et des métiers du funéraire. Pour faire simple, avec Funévia, vous réduisez vos coûts de transport en bénéficiant de places vides de véhicules funéraires ou vous pouvez proposer vos trajets à vide à la vente (cela à travers toute l’Europe).
Quelles sont vos premières impressions concernant cette édition 2018 ?
L'impression générale est très positive avec une bonne fréquentation et un public professionnel très intéressé. Le salon nous a permis de doubler le nombre d’inscrits avec un accueil très chaleureux des professionnels devant ce produit innovant, écologique et permettant des économies substantielles sur les transferts mortuaires supérieurs à 100 km.
Quelle évolution souhaiteriez-vous que les organisateurs apportent à cet événement ?
Nous souhaiterions l’organisation de conférences qui permettraient d’expliquer, par exemple, comment se calcule le PRK (Prix de Revient Kilométrique) d’un véhicule de transport mortuaire. Pour parler également de la situation actuelle qui fait que 50 000 corbillards circulent à vide chaque année, à l’aller ou au retour, lors d’un transfert mortuaire longue distance. Ce sont pas moins de 2 700 tonnes de CO2 que l’on pourrait épargner à la planète ; et 8 000 000 € de manque à gagner pour la profession.
Résonance n°146 - Janvier 2019
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