Groupement d’intérêt économique destiné aux opérateurs funéraires indépendants, le GOFI a pour vocation de rendre audibles ces derniers auprès des groupes bancaires et d’assurances. En gestation depuis plus d’un an avant un lancement officiel au Mans le 25 avril dernier, le GOFI désire aujourd’hui rassembler au sein d’une base de données unique, un maximum d’infrastructures funéraires appartenant aux opérateurs funéraires indépendants. Cet outil simple et performant doit permettre de négocier d’une seule voix avec pour démarrer un minimum de 800 points de vente qui représentent le seuil de crédibilité pour entamer des négociations avec les groupes d’assurances et tous les autres porteurs de convois.
Entamée il y a déjà quelques années, le secteur funéraire connaît une phase de profonde mutation dont l'achèvement reste encore à venir. Pour l'heure, parmi ces nombreuses évolutions, outre l'aspect économique, nous nous intéresserons principalement au volet relatif aux nouvelles attentes des familles et à la formation des professionnels funéraires au regard de celles-ci. Grandement débattue au sein des groupes de travail du CNOF, la formation professionnelle est à l'aube d'une refonte qui devrait intervenir à de multiples niveaux : pédagogie, écoles, jurés, organismes collecteurs, etc. Dans le même temps, les enjeux et l'avenir de la branche funéraire sont également au centre des préoccupations du moment. CPFM et EFFA étant très actives sur ces sujets, Richard Feret, délégué général de CPFM, nous en dit un peu plus…
Groupement d’intérêt économique destiné aux opérateurs funéraires indépendants, le GOFI a pour vocation de rendre audibles ces derniers auprès des groupes bancaires et d’assurances. L’objectif du GOFI est de rassembler un maximum d’opérateurs indépendants afin de représenter, à plus ou moins court terme, une masse de plus de 600 points de vente. Un seuil minimum pour être crédible auprès des banques/assurances, suivant Thierry de Montgon, directeur général du GOFI (suite).
Issue du milieu bancaire – HSBC – Camille Soustra incarne aujourd’hui la communication du Groupe OGF. Pourvue d’une solide expérience en communication interne, managériale et institutionnelle, elle entend bien accompagner les collaborateurs dans l’évolution digitale et omnicanale de l’entreprise, et développer la visibilité du leader des services funéraires dans la presse… Rencontre.
Groupement d’intérêt économique destiné aux opérateurs funéraires indépendants, le GOFI a pour vocation de rendre audibles ces derniers auprès des groupes bancaires et d’assurances. En gestation depuis plus d’une année avant un lancement officiel le 25 avril dernier, au Mans, l’objectif du GOFI est, aujourd’hui, de rassembler un maximum d’opérateurs indépendants afin de représenter, à plus ou moins court terme, une masse de plus de 600 points de vente. Un seuil minimum pour être crédible auprès des Banques/assurances, suivant Thierry de Montgon, directeur général du GOFI.
Accroître ses performances industrielles en investissant chaque année dans les outils de production afin de rester compétitif et de répondre à l’accroissement de la demande, tels sont les défis auxquels répond encore une fois le groupe Bernier Probis, spécialisé dans la fabrication des cercueils et dans la distribution d’articles funéraires.
Le cabinet d’avocats Stéphan Dénoyés évolue dans le secteur funéraire depuis un certain nombre d’années aussi bien auprès d’entrepreneurs indépendants que de groupes plus conséquents. Liaisons conventionnelles ou contractuelles, implantations et exploitations de nouvelles structures, promotion ou encore régularisation de litiges sont autant d’évènements récurrents dans le fonctionnement d’une entreprise pour lesquels on néglige trop souvent les services d’un homme de loi… Explication !
Depuis près de 11 ans au sein du Groupe OGF, Catherine Laloyer a connu un parcours pour le moins singulier, avant de prendre la direction des achats du Groupe. Résolument attachée à l’humain, elle cherche toujours à explorer de nouveaux horizons. Rencontre.
Alors que sa croissance bat son plein, le réseau succursaliste "La Maison des Obsèques" (LMO) place l’humain au cœur de sa stratégie. Alors que les acquisitions et le déploiement de la marque relèvent des aspects marketing et financier, LMO a fait le choix, pour une intégration optimale de ses nouveaux collaborateurs, de s’appuyer sur un service de ressources humaines dédié, ainsi que sur l’expérience des membres "pionniers". Entre développement personnel et mutualisation des acquis…, rencontre avec Lionel Crépin, directeur des ressources humaines au sein de "La Maison des Obsèques".
Plutôt discrète ces dernier temps, la société Facultatieve Technologie (FT) n’en est pas moins active. Pour preuve, le spécialiste en équipement de crémation, outre sa volonté d’améliorer encore et toujours ses produits, vient de mettre au point le premier système de réduction de NOx. Malgré un planning très chargé du fait des derniers chantiers de mise aux normes du parc français, Patrick De Meyer, directeur général de FT France, a bien voulu nous en dire un peu plus.
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