Confrontées à une surpopulation de leurs cimetières, et en manque d’espace funéraire disponible, les grosses villes peuvent peiner à innover. Pourtant, de par le monde, des architectes apportent des solutions, parfois étonnantes, dérangeantes, pragmatiques.

Créateur de monuments funéraires, Jérémie Lévy implante peu à peu sur le territoire sa collection Absolu, douze modèles innovants et contemporains mêlant granit, inox et verre. Le patron de la société mosellane Cimtéa et son bureau d’études ont récemment été sollicités pour concevoir la sépulture de victimes de l’attentat de Nice.

"Aujourd’hui, même si un discours commercial est bon, il n’est plus suffisant pour vendre." Créateur et dirigeant de la société mosellane Cimtéa (marbrerie funéraire et sites cinéraires, notamment), Jérémie Lévy a créé voici un an un site Internet spécifique lorsqu’il a lancé sa gamme très contemporaine de monuments Absolu© la collection. Il en a fait une arme lui servant à la fois à séduire des clients et à développer un réseau de distribution.

Innover tant qu’il y aura de l’originalité : le gérant de l’entreprise Cimtéa, Jérémie Lévy, poursuit le développement de sa collection Absolu de monuments funéraires contemporains, en prenant son inspiration dans l’architecture et le design.

Créateur de sites cinéraires et fournisseur de marbrerie funéraire, la société Cimtéa (née en 2002 en Moselle) développe depuis le début de cette année sa gamme de monuments "absolu© la collection", une gamme au design innovant, contemporain et très stylé. Son créateur, Jérémie Lévy, a mis en avant son originalité lors du dernier salon Funexpo en septembre dernier à Lyon. Petit à petit, nous précise-t-il, son réseau de distributeurs, indispensable pour commercialiser ces monuments personnalisables, se constitue sur l’ensemble du territoire.

Collet Funéraires est dans une vraie dynamique d’innovation. Depuis le début de l’année 2019, la marque s’est attachée à développer le service sous toutes ses formes.

L’université de Lorraine (UDL) et l’Union Crématiste Européenne (UCE) ont organisé le 25 octobre dernier, à la faculté de droit de Nancy, un colloque sur le thème : "Éthique et crémation : réflexions sur une liberté éclairée". Synthèse des travaux de cette enrichissante journée.

L’Université de Lorraine (UDL) et l’Union Crématiste Européenne (UCE) organisent le vendredi 27 octobre 2017, à Nancy, un colloque sur le thème : "Droit et crémation : quel statut juridique pour les restes humains ?"

Le colloque organisé par le Centre Européen d'Études et de Recherche Droit et Santé sur le thème : "Droits et vie du corps mort" a eu lieu les 12 et 13 mars derniers. Résonance, partenaire de cet évènement, reviendra sur ces journées dans ses prochaines éditions.

Funéraire et nouvelles technologies : véritable bouleversement des usages ou simple effet de mode ? Quelle place pour le service public ?

Le 23 avril dernier, le Comité National d’Éthique du Funéraire (CNEF) organisait, dans le cadre exceptionnel des locaux du Palais du Luxembourg à Paris, son colloque qui portait cette année sur la question "À qui appartient le corps du défunt ?". Pour répondre à cette interrogation, le CNEF a privilégié quatre axes d’approche. Nous vous proposons, ci-après, d’aborder l’approche juridique avec l’intervention de Damien Dutrieux, consultant au CRIDON Nord-Est et maître de conférences associé à l’Université de Lille 2, et celle de Pierre Larribe, conseiller juridique à la CPFM.

La Toussaint est depuis toujours la période au cours de laquelle des millions de Français se rendent dans les cimetières. Le Syndicat Intercommunal Funéraire de la Région Parisienne (SIFUREP) a donc consacré son 11e colloque annuel aux espaces confessionnels dans les cimetières.

Alors qu’il fête sa centième collectivité locale adhérente, le Syndicat Intercommunal Funéraire de la Région Parisienne (SIFUREP) organisait, le 5 octobre dernier à Paris, son dixième colloque annuel. L’occasion pour le funéraire public francilien (qui exerce son activité sur 4 millions d’habitants) de se pencher sur la place des morts dans nos vies et nos villes.

“Il ne suffit(…)pas au jurisconsulte de se préoccuper des vivants“, affirme Gabriel Timbaldans l’introduction à sa célèbre(et controversée) thèse sur lacondition juridique des morts.

C’est également l’opinion des trois porteurs du présent “Traité des nouveaux droits de la Mort“ (ÉditionsL’ÉpitogeLextenso), qui se compose de deux tomes : le premier envisage la Mort et ses “activités juridiques“ et le second la Mort et ses “incarnations cadavériques“.