Pour Benoît Fourquet, gérant de FUNERIS, et Ophélie Chauffert, directrice, c’est la traditionnelle tournée de printemps auprès des adhérents. En effet, depuis fin mars, les réunions locales ont repris et elles sont l’occasion de dévoiler et de présenter les nouveautés et les développements en cours, mais également d’inciter les membres à parrainer des confrères avec qui ils pensent partager les mêmes valeurs… que sont l’attachement à l’indépendance, la défense d’une qualité de service, l’écoute et la solidarité, entre autres, tous ces engagements étant inscrits dans la charte FUNERIS fondé sur l’éthique et le respect des familles. Ce sont d’ailleurs lors de ces réunions qu’Ophélie et Benoît rencontrent les "postulants".
En travaillant sur les données INSEE, j'ai fait ce constat paradoxal : le baby-boom, entre 1945 et 1946, s'est traduit par une augmentation de 35 % des naissances, soit plus de 168 000 personnes. Mais 80 ans plus tard, aucune des prévisions de mortalité de l'INSEE n'annonce d'augmentation de mortalité. N'étant pas statisticien, ni mathématicien, cela fait quelque temps que je m’interroge tout en acceptant ce potentiel paradoxe. En mars 2023, pour étudier l'évolution de la mortalité de l'année 2022, je me suis penché sérieusement sur le sujet : d'où l'analyse que je vous propose.
Au terme de 12 ans de travail et d’études, cette nouvelle structure a été inaugurée le 30 août dernier en présence de nombreux maires et d’élus communautaires de tout le Béarn. Confié par la communauté de communes de Lacq-Orthez (CCLO) à la Compagnie Funéraire du Béarn sous forme de concession, le crématorium Lacq-Orthez est entré en fonctionnement le 2 septembre 2019, sur la zone Eurolacq 2 à Labastide-Monréjeau.
Il peut arriver que le cimetière, aussi bien géré qu’il soit, soit perturbé par son proche voisinage qui peut générer des troubles par ses activités peu en rapport avec le caractère qui devrait s’attacher à ces lieux, ou au contraire, comme en l’espèce par l’absence d’entretien d’une propriété voisine. C’est dans ce contexte qu’intervient ce récent jugement.
À la suite d’un orage survenu le 9 octobre 2018, la foudre s’est abattue sur le clocher de l’église de la commune de Saint-Amans-Soult (Tarn), provoquant son effondrement. La chute de ses débris a ainsi occasionné la destruction partielle du caveau funéraire du maréchal d’empire Jean de Dieu A..., duc C.... (nous reprenons l’anonymisation de l’arrêt, mais tout laisse à penser qu’il s’agit de la tombe du maréchal Soult).
Aux termes de l’art. L. 3121-4 al. 1 du Code du travail, "Le temps de déplacement professionnel pour se rendre sur le lieu d’exécution du contrat de travail n’est pas un temps de travail effectif". Appliqué très strictement par les juridictions internes, la jurisprudence constante de la Cour de cassation entrait en contradiction avec le droit européen. C’est cette contradiction que l’arrêt du 1er mars 2023 semble lever.
Voici un arrêt qui nous laisse dubitatifs quant aux conditions d’une exhumation, essayons de le présenter. Tout d’abord, il n’est pas inutile d’effectuer quelques rappels quant à la qualité de celui qui peut solliciter une exhumation sur le fondement de l’art. R. 2213-40 du CGCT.
Lorsqu’on entre dans la salle de l’Arche du crématorium de Champigny-sur-Marne (94), on comprend que l’architecture n’a pas été conçue au hasard. Un sens de l’esthétique et une maîtrise des grands volumes vous transportent et vous apaisent.
Dès leur création, les pompes funèbres Accompagnement Funéraire 92 se démarquent en proposant à Neuilly-sur-Seine des prestations de très grande qualité, voire "Premium" lorsque cela correspond au souhait intime des familles. En toute logique, le cercueil HOMAJE y trouve sa place, répondant tant à une volonté de personnalisation particulière, élégante et "design", qu’à une approche d’unicité de l’hommage. Vincent Chaventré, dirigeant, nous parle de sa démarche pour offrir un service funéraire individualisé à chaque famille, et de l’importance d’HOMAJE dans celle-ci.
Dans un article publié dans Résonance n° 99 d’avril 2014 consacré au transport de marchandises par les compagnies aériennes, j’évoquais l’hypothèse de la perte d’un cercueil à l’occasion d’une opération de rapatriement en faisant état d’une situation inédite qui s’est présentée une fois, sans en approfondir le contexte. L’histoire rapportée illustre la cruauté de la situation pour la famille endeuillée et met à nu l’aberration des conventions internationales régissant le transport aérien en la matière.
"En créant la SAS FUNÉFOR en septembre 2016, nous avions conscience de proposer une offre de formation différente de l’existante dans nos métiers où prédomine exclusivement l’offre diplômante réglementaire", précise Mario Metta, qui a bien voulu répondre à nos questions.