La société évolue et votre activité funéraire avec elle. Apporter aux élus de votre région l’éclairage nécessaire sur la réglementation funéraire en vigueur n’est pas une chose facile. Manque de temps, les interlocuteurs auxquels vous vous adressez ne sont pas forcément ceux qu’il faudrait, dialogues de sourds… Apporter vos connaissances et votre professionnalisme aux collectivités territoriales relève, le plus souvent, du parcours du combattant. Aujourd’hui, l’offre FUNÉLIB’ est à vos côtés pour vous accompagner dans ces démarches !
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Dans le cadre de son offre, FUNÉLIB’ vous propose d’animer des "Journées Territoriales" auprès des maires de vos Régions. Vous en êtes les principaux organisateurs et acteurs. Ces réunions ont pour objet de favoriser, développer et promouvoir l’information dans le domaine funéraire des entreprises de pompes funèbres et des collectivités territoriales.
C’est dans un contexte spécifique que le service des "Journées Territoriales" de FUNÉLIB’ a été pensé pour accompagner les opérateurs funéraires. La législation funéraire est complexe et difficilement assimilée par tout le monde… y compris par vos élus locaux. Ces "Journées Territoriales" ont été imaginées de façon à ce que vous exerciez votre activité du funéraire. Ce sont des moments d’échange, de réflexion et de débat entre vous, vos élus locaux et Marion Perchey, juriste spécialisée en droit funéraire.
Organisées sous l’égide de FUNÉLIB’ par des professionnels du funéraire, se sont déroulées en avril en Bretagne et en juin en Auvergne deux conférences sur le thème des évolutions réglementaires du cimetière à destination de près de cinquante élus locaux venus échanger sur ce thème.
La conférencière, Marion Perchey, est intervenue au cours d'un programme riche retraçant l’évolution réglementaire de ces dix dernières années. Le cimetière est un espace qui connaît des mutations constantes sous l'impulsion des évolutions sociétales. On pense tout d’abord à l'essor de la crémation (qui implique la création et la mise à disposition de sites cinéraires), à un éloignement des familles et une transformation du noyau familial (qui conduit à un abandon des sépultures anciennes ou à un regroupement de sépultures), à une évolution des rites funéraires (avec l’essor des cérémonies civiles et donc la question des lieux disponibles pour leur bonne organisation) et à des demandes fortes des communautés religieuses (développement de carrés confessionnels). Le cimetière est ainsi un environnement juridique et physique à la croisée des chemins.
Les échanges ont aussi porté sur la question des règles d’acquisition des concessions funéraires et leur bonne gestion, notamment lorsqu’elles ont une vocation familiale ainsi que sur la question des reprises de concessions échues ou abandonnées.
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