Nouveautés et partenariat inédit, deux bonnes raisons pour faire une visite sur le stand des bijoux Les Empreintes

FUNÉRAIRE PARIS est donc à nouveau l’occasion pour Antoine Van Goethem, son dirigeant, d’exposer ses dernières innovations. C’est tout d’abord une nouvelle forme de bijoux qui est à l’honneur. Cette création associe une photo du défunt et une empreinte digitale. Moyen unique et personnel permettant de garder au plus près de soi l’être cher disparu, il s’agit d’un médaillon (disponible en or 18 carats ou en argent 925) en forme de cœur ou d’ovale, composé d’un "couvercle" s’ouvrant pour laisser apparaître l’intérieur où est apposée la reproduction (de grande qualité) du portrait ; l’extérieur ou la face opposée reçoit l’empreinte pouvant être accompagnée d’une inscription ou d’un mot personnalisé.

À noter que la photo est protégée par un film en plastique transparent. Pour le lancement de cet article, la société Les Empreintes s’engage exceptionnellement à imprimer le portrait et à le placer dans le médaillon. Par la suite, un outil va être développé afin que les pompes funèbres partenaires puissent individualiser, imprimer elle-même l’illustration photographique et la mettre en place, cela dans leur établissement. Ainsi, elles seront indépendantes pour la réalisation de cet article et pourront effectuer la personnalisation en direct avec la famille.

L’actualité de l’entreprise de Verberie est également fortement marquée, pour cette nouvelle édition du salon parisien, par l’arrivée d’un partenaire néerlandais, Golden Fingerprint. Celui-ci est aussi une manufacture artisanale de bijoux personnalisés qui travaille également les empreintes digitales. Elle partagera le stand avec Les Empreintes. Ensemble, ils exposeront leurs gammes d’articles, sachant que les collections du bijoutier hollandais viennent enrichir aujourd’hui celles conçues par Antoine Van Goethem. Après le salon de Mannheim (Allemagne) en septembre, FUNÉRAIRE PARIS sera le deuxième événement "signant" cette nouvelle collaboration.

Ce partenariat va permettre à la marque Les Empreintes, dans un premier temps, d’ajouter une dizaine de modèles, sur son site Internet, issus du catalogue Golden Fingerprint, sachant que ces derniers sont très différents de ceux fabriqués par l’orfèvre de l’Oise. Ainsi, les gammes seront plus étoffées sur le configurateur "maison". Si les essais sont concluants, un apport supplémentaire de bijoux néerlandais sera effectué. Les partenaires pompes funèbres auront ainsi des collections élargies à présenter à leurs familles clientes.

"L’idée pour nous est de continuer à innover sur ce marché et de faire rentrer ce service dans les mœurs funéraires. Nous pensons que le bijou est un objet du souvenir au même titre qu’une plaque funéraire ou les fleurs… qui a tout autant sa place, représentant un symbole mémoriel fort, et il peut être un bel hommage à ce qu’était le défunt. Nous souhaitons apporter une diversification des propositions, sources complémentaires de chiffre d’affaires pour les opérateurs funéraires, et offrir aux familles des alternatives innovantes aux articles classiques", précise le dirigeant français.

Comme une forme de concrétisation de ces démarches novatrices, Antoine Van Goethem va présenter, en avant-première, la fabrication d’un bijou en direct. Pour cela, seront installés sur le stand une machine de gravure laser et un touret de polissage. Les différentes étapes de façonnage seront reproduites à l’identique de celles réalisées en atelier. Pour les visiteurs du salon, ce sera alors une véritable démonstration du savoir-faire du bijoutier. L’idée est de faire connaître au plus grand nombre, et en l’occurrence ici les PF, le procédé d’élaboration d’un collier, d’un bracelet ou d’une bague.

"Nous voulons être le principal acteur en France qui va permettre de rendre accessible à tous ce type de service et d’articles du souvenir. C’est l’une des raisons qui ont fait que, dès la création de la société, je n’ai voulu travailler qu’avec les pompes funèbres, ne souhaitant pas vendre en direct, sur Internet par exemple. Pour moi, celles-ci sont les plus aptes à promouvoir, à défendre et à commercialiser nos produits auprès du plus grand nombre."

"Pour conclure, je relèverai l’impact positif qu’a eu l’article dans Résonance quant à notre proposition, pour nos distributeurs, de scanners portatifs pour relever empreintes, dessins et phrases manuscrites, entre autres. Celui-ci se révèle vraiment utile et facile d’utilisation, et facilite grandement le travail de l’opérateur funéraire commercialisant nos bijoux, lui offrant un vrai confort de prise d’empreintes au quotidien, même s’il est seul. Sans oublier une bien plus grande qualité de reproduction."