HOMAJE chez les Pompes Funèbres et Marbrerie Vandycke… la satisfaction au rendez-vous !

Cela fera trente ans cette année que les PFM Vandycke existent. Ce fut à la base la reprise de l’entreprise Jean Borne qui proposait des services de marbrerie funéraire artisanale. L’établissement historique de la société est à Chevreuse dans les Yvelines. Les pompes funèbres se sont développées avec la création, en juillet 2013, d’une maison funéraire à Magny-les-Hameaux (une agence et un funérarium avec trois chambres personnalisables, un local technique avec une cellule réfrigérée pouvant accepter huit corps). Au même moment, c’est également l’ouverture d’un bureau à Voisins-le-Bretonneux. Enfin, au mois de mai dernier, fut inauguré un nouveau bureau à Rambouillet.

Résonance : Comment avez-vous fait la connaissance du cercueil HOMAJE ?

Bruno Vandycke : Une personne du Groupe Distribution Funéraire est venue me voir dans notre établissement de Magny-les-Hameaux pour m’informer de l’arrivée sur le marché de ce nouveau cercueil et il souhaitait me le présenter. Je suis, pour ma part, assez traditionaliste et fidèle dans mes relations commerciales. Donc, ma première réaction a été de dire non, ayant déjà un fournisseur pour lequel je suis très satisfait, et cela, depuis plus de vingt ans. Son argument se basant sur la complémentarité du produit et non sur le remplacement d’une gamme, j’ai quand même accepté de le voir. De plus, celui-ci ayant pris le temps de se déplacer, cela me paraissait normal de regarder et découvrir HOMAJE.

J’ai posé comme condition de "l’examiner" exposé dans mon agence, sur tréteaux, et non pas de me contenter de le voir seulement dans son véhicule. Une fois cela fait, j’ai commencé à l’observer sous tous les angles. Ma première impression fut la surprise à la vue de la perfection de sa ligne simple, épurée. HOMAJE avait une forme innovante, différente de ce que nous avions en magasin, des modèles traditionnels que nous distribuons chez nous. Je le trouvais vraiment beau en chêne massif, dans sa teinte naturelle. Sa ligne pure, dépourvue de visserie, avec ses poignées modernes et design, en laiton brossé, s’associait parfaitement avec la couleur d’ensemble du cercueil. Cela a commencé à me plaire.

R : J’imagine que vous l’avez étudié en détail et que vous avez apprécier la qualité de l’ouvrage…

BV : Oui. J’en ai ensuite fait le tour plusieurs fois et, instinctivement, je l’ai "caressé", cette essence, le chêne, étant une matière très agréable au toucher. Cela m’a permis de découvrir son galbe novateur et ses courbes réussies, résultat d’un dessin originel précis et d’un travail minutieux. La grande qualité du bois choisi fait que l’on se rend compte facilement de la qualité de la finition et, en l’effleurant délicatement, on sent la finesse des nervures. C’est une des particularités qui m’a séduit en premier. Ensuite, nous sommes passés à l’étape suivante, c’est-à-dire l’ouverture du cercueil. Ici, une seule vis est à retirer au pied et deux loquets à déverrouiller à la tête. J’ai ainsi découvert le système fait d’une double glissière pour retirer le couvercle. Le retrait s’effectue vraiment avec facilité.

J’ai aussi constaté que le capiton était distingué et bien conçu, réalisé dans un fin coton uni, complété d’un bac, d’un tour, d’une couverture et d’un oreiller. L’ensemble était d’une manière générale sobre, mais beau et élégant. Concrètement, cela m’a beaucoup plu et je n’ai pas regretté d’avoir pris le temps de découvrir HOMAJE. Cela devait être en 2016, 2017, au tout début, je pense. C’était peut-être même encore un prototype à l’époque.

R : Comment cela s’est passé ensuite ? Êtes-vous tombé rapidement d’accord sur les différents aspects de la commercialisation de ce prestigieux cercueil ?

BV : J’ai tout de suite compris qu’il s’agissait d’un produit unique, qui allait se démarquer par rapport aux autres gammes. Par rapport à cela, je souhaitais être le seul à le commercialiser dans mon périmètre, je ne voulais pas le voir dans toutes les boutiques comme un produit commun, banal. En retour de cela, Stéphane Bret et Éric Liebel m’ont tenu un discours cohérent avec ma volonté et nous avons très vite convenu que je serais un distributeur unique dans mon secteur. En effet, ils voulaient développer le côté exceptionnel, "premium" d’HOMAJE, mettre en place une distribution en correspondance avec le côté haut de gamme en choisissant les pompes funèbres, celles-ci ayant la quasi-exclusivité sur leur "territoire".

Cela m’a beaucoup plu, car une confiance mutuelle s’est ainsi installée. Il y avait là une valeur inestimable émanant d’une collaboration commerciale équilibrée et cela a bien tenu au fil des années. J’ai donc intégré HOMAJE dans mes propositions aux familles. À ce moment-là, j’ai également fait l’acquisition du présentoir conçu spécialement pour lui. Du fait d’avoir été parmi les premiers à le vendre, nous avons pu partager notre expérience avec les créateurs, ce qui a permis parfois, avec d’autres, je présume, d’initier peut-être des améliorations, Stéphane et Éric étant toujours attentifs aux retours "terrain".

R : Étant dans un environnement - la vallée de Chevreuse - où vous avez affaire à une population en partie aisée, j’imagine que ce produit a été bien accueilli par les familles.

BV : Tout de suite, du fait de sa finition de grande qualité, de la spécificité de son design, de ses lignes pures, HOMAJE a eu du succès. Les familles le voient dans la salle d’exposition et, immédiatement, il leur plaît et elles veulent absolument ce modèle. Elles sont touchées par son côté épuré, on pourrait presque dire "minimaliste" tout en ayant beaucoup d’élégance. Et, moi, je suis, en tant qu’opérateur funéraire et en tant que personne, en totale cohérence avec ces derniers caractères. Cela correspond à ma personnalité et aux services et prestations que je propose dans le cadre de mes réalisations d’obsèques.

R : Enfin, ayant quatre sites, HOMAJE est-il présent dans chacun d’entre eux ?

BV : Suivant nos agences, il est exposé soit en entier, à Chevreuse et à Magny-les-Hameaux, soit sur documentation à Voisins-le-Bretonneux. À Rambouillet, nous présentons des demi-cercueils. Nous avons donc demandé à Distribution Funéraire s’il était possible d’avoir un exemplaire dans cette configuration. Cela n’a pas posé de problèmes et nous l’avons eu très rapidement en deux versions, un demi "chêne massif" dans la salle d’exposition inhumation et un "pin" dans celle consacrée à la crémation.