Entreprise écoresponsable familiale, les Pompes Funèbres Atger se revendiquent Opérateurs Funéraires Indépendants (OFI) et sont attachées à toutes les valeurs que défend le GOFI. C’est ce qui ressort des échanges que nous avons eus avec Catherine Atger, passionnée par son métier… et qui, très tôt, adhéra au Groupement.
Couple dynamique et entreprenant, Catherine et Laurent Atger développent depuis plus de vingt-cinq ans leurs activités, déployant leurs établissements sur trois départements en Occitanie pour être au plus près des familles et leur offrir une qualité de service irréprochable. C’est ainsi qu’aujourd’hui, les PF Atger comptent quatre agences – Ganges (Hérault), Le Vigan (Gard), Anduze (Gard) et Nant (Aveyron) – et deux funérariums disposant de deux salons chacun, à Avèze et Nant. Un troisième est en cours de construction à Anduze, avec le même nombre de salons, mais comprenant en plus une salle omni-culte de 40 places assises. À noter qu’une salle de cérémonie pouvant accueillir 80 personnes est également en cours d’édification au Vigan.
"Nous nous sommes installés en 1994 en tant que pompes funèbres et ambulancier, ce qui était souvent très lié à l’époque. Très rapidement, nous nous sommes aperçus que la profession funéraire nous offrait une activité pleine et entière qui allait nous occuper, nous passionner, nous permettre d’éprouver un grand sentiment d’utilité en associant l’écoute et l’accompagnement des familles, en les aidant à construire et à perpétuer le souvenir du défunt. Nous avons donc vendu la partie sanitaire pour ne nous consacrer qu’à la partie pompes funèbres."
Magasin du Vigan.
Être utile et indépendant
C’est alors que Catherine et Laurent Atger ont qualifié l’ensemble de leur personnel par le biais de formations adaptées et/ou réglementaires. Des équipements complémentaires ont été acquis. Petit à petit, au fil des années, à partir du siège d’origine se situant dans la commune du Vigan, ils se sont agrandis, devenant une entreprise familiale et indépendante avec une dizaine de salariés, le couple dirigeant compris, et avec quatre véhicules funéraires (mixtes ou uniquement dédiés à la cérémonie).
Ayant de fortes convictions professionnelles et l’amour de son métier, Catherine Atger s’est intéressée au "GOFI" dès le début de son histoire. Rencontrant les opérateurs funéraires indépendants à l’initiative du projet, elle fut immédiatement convaincue de la nécessité du combat à mener pour défendre des valeurs telles que l’indépendance, la passion, la transparence, l’intégrité, ou encore la qualité.
"Je crois à la capacité du GOFI de rassembler les forces des indépendants, pour devenir un réseau, un groupement important pouvant appréhender de façon constructive les grands virages – générés par les mutations de la société actuelle – que va devoir prendre le monde funéraire. Il faut que toutes les infrastructures funéraires autonomes se sentent "entourées" dans cette période marquée par de grands changements sociétaux. Cela afin de pérenniser le statut de l’indépendance."
C’est alors que Catherine et Laurent Atger ont qualifié l’ensemble de leur personnel par le biais de formations adaptées et/ou réglementaires. Des équipements complémentaires ont été acquis. Petit à petit, au fil des années, à partir du siège d’origine se situant dans la commune du Vigan, ils se sont agrandis, devenant une entreprise familiale et indépendante avec une dizaine de salariés, le couple dirigeant compris, et avec quatre véhicules funéraires (mixtes ou uniquement dédiés à la cérémonie).
Ayant de fortes convictions professionnelles et l’amour de son métier, Catherine Atger s’est intéressée au "GOFI" dès le début de son histoire. Rencontrant les opérateurs funéraires indépendants à l’initiative du projet, elle fut immédiatement convaincue de la nécessité du combat à mener pour défendre des valeurs telles que l’indépendance, la passion, la transparence, l’intégrité, ou encore la qualité.
"Je crois à la capacité du GOFI de rassembler les forces des indépendants, pour devenir un réseau, un groupement important pouvant appréhender de façon constructive les grands virages – générés par les mutations de la société actuelle – que va devoir prendre le monde funéraire. Il faut que toutes les infrastructures funéraires autonomes se sentent "entourées" dans cette période marquée par de grands changements sociétaux. Cela afin de pérenniser le statut de l’indépendance."
Sallon d’organisation des cérémonies civiles.
La force de l’union
Il s’agit ici pour Catherine Atger d’une évidence qui l’incita, même pendant le confinement, à garder le contact avec ses confrères OFI, grâce notamment à la visioconférence. Cette communication a permis d’échanger les informations, de partager les expériences, les pratiques. "Nous avons été, durant la crise sanitaire, très proches, très attentifs à ce qui se passait pour les uns et les autres, sachant que certains pouvaient se sentir isolés. C’est aussi la puissance et la chaleur que peut avoir une organisation comme le GOFI."
Enfin, parmi les combats à venir, Catherine Atger avoue que, pour elle, le combat de la "maturité" est sans conteste celui ayant trait à la captation des dossiers liés aux contrats obsèques détenus par les intermédiaires (assureurs, mutuelles, plateaux de gestion, etc.). L’obtention de l’organisation des obsèques doit être possible pour tous les OFI comme pour tous les autres dans le respect total du choix des familles. Et ces dernières doivent avoir le libre choix de leurs pompes funèbres. C’est ici bien sûr l’objectif central du Groupement.
"Dans ce domaine, tout est à faire, tout est intéressant, tout est à découvrir. Oui, le GOFI a toutes ses chances mais il est encore jeune et a besoin de grandir, de s’étoffer, de rassembler, car l’union est une force. Il est essentiel aujourd’hui de donner un message d’espoir autour du GOFI, car c’est une véritable alternative qui a du sens au niveau national. Pour ma part, j’y crois, et j’en parle dès que je peux en partageant toutes ces valeurs."
Il s’agit ici pour Catherine Atger d’une évidence qui l’incita, même pendant le confinement, à garder le contact avec ses confrères OFI, grâce notamment à la visioconférence. Cette communication a permis d’échanger les informations, de partager les expériences, les pratiques. "Nous avons été, durant la crise sanitaire, très proches, très attentifs à ce qui se passait pour les uns et les autres, sachant que certains pouvaient se sentir isolés. C’est aussi la puissance et la chaleur que peut avoir une organisation comme le GOFI."
Enfin, parmi les combats à venir, Catherine Atger avoue que, pour elle, le combat de la "maturité" est sans conteste celui ayant trait à la captation des dossiers liés aux contrats obsèques détenus par les intermédiaires (assureurs, mutuelles, plateaux de gestion, etc.). L’obtention de l’organisation des obsèques doit être possible pour tous les OFI comme pour tous les autres dans le respect total du choix des familles. Et ces dernières doivent avoir le libre choix de leurs pompes funèbres. C’est ici bien sûr l’objectif central du Groupement.
"Dans ce domaine, tout est à faire, tout est intéressant, tout est à découvrir. Oui, le GOFI a toutes ses chances mais il est encore jeune et a besoin de grandir, de s’étoffer, de rassembler, car l’union est une force. Il est essentiel aujourd’hui de donner un message d’espoir autour du GOFI, car c’est une véritable alternative qui a du sens au niveau national. Pour ma part, j’y crois, et j’en parle dès que je peux en partageant toutes ces valeurs."
Gil Chauveau
Résonance numéro spécial n°10 - Août 2020
Résonance numéro spécial n°10 - Août 2020
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