Pour une entreprise comme FIMO, un après-salon est toujours générateur d’énormément de travail du fait de prises de commandes importantes. Cela peut représenter jusqu’à deux mois de chiffres d’affaires en trois jours. FUNÉRAIRE PARIS ne déroge pas à la règle, et a apporté à l’entreprise d’Avaray son quota de ventes réalisées… dans la bonne humeur, marque de fabrique de son dirigeant.
Le salon FUNÉRAIRE PARIS est l’occasion pour Rodolphe Nicolas, dirigeant de la société FIMO, de présenter une grande partie des produits qu’il commercialise, d’en expliquer le fonctionnement, mais également d’exposer des nouveautés ou de nouvelles versions de matériels existants déjà éprouvés. Ce dernier fait un petit retour en arrière avec nous pour dresser un rapide bilan de l’édition 2015.
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| Stand FIMO à FUNÉRAIRE PARIS 2015. |
"Tout d’abord, par rapport au nouveau lieu, j’ai apprécié la proximité du RER permettant un accès facile de nos clients n’ayant pas de véhicule ou l’ayant garé assez loin. Le petit regret, c’est le samedi, qui fut court du fait d’un départ tôt dans l’après-midi des visiteurs craignant de ne pas avoir de navettes pour rejoindre leur voiture ou leur train", nous indique-t-il.
Les nouveautés ou les produits phares mis en avant sur l’espace FIMO ont été cette année les sacs à gravats, un nouveau modèle de portique de levage, le chariot "quatre roues", les boîtes à ossements en PVC. Nous avons pu découvrir également la nouvelle gamme de débiteuses à eau pour découper le granit (celle présente sur le stand faisait trois mètres de coupe) et les nombreuses collections de vêtements professionnels. On pouvait noter aussi l’exposition de plus de 150 caisses à outils, dans toutes les tailles possibles et imaginables, et une grande variété d’échelles.
"Nous avons pu noter une augmentation de nos prises de contacts, malgré un nombre d’entrées moins important cette année (1 000 de moins versus 2013), l’accueil de nouveaux clients, un échange amical et constructif avec notre clientèle habituelle, qui ne manquait pas de nous faire part de leur expérience sur certaines machines ou certains outils acquis chez nous", nous précise-t-il encore.
Ce qui est sûr, c’est que Rodolphe Nicolas et son équipe ont été très sollicités, tant par les partages conviviaux autour d’un verre et/ou devant un buffet généreusement fourni et entretenu, que par les actes plus sérieux des prises de commandes. Il y a bien sûr des secteurs qui sont plus porteurs que d’autres, comme le matériel de levage, les plaques de roulements, le sablage (avec trois sableuses "leaders") ou tous ce qui concerne l’exhumation, mais, d’une manière générale, l’ensemble du catalogue a été "sollicité". Aujourd’hui, et au moins jusqu’à la fin janvier, les équipes de FIMO seront sur les dents pour honorer tous les achats qui ont été effectués et mettre en place les départs pour livraison.
Un bilan donc très positif pour une entreprise dynamique et enthousiaste qui, compte tenu de la diversité de ses propositions commerciales, doit être présente sur tous les fronts.
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