Ainsi, comme pour avoir un avant-goût de ce qui pourrait se mettre en place à partir de 2013, et tenter d'évaluer les savoirs et compétences qu'il faudra acquérir pour réussir les épreuves contenues dans l'arrêté paru au JO le 3 mai 2012, les stagiaires ont dû plancher sur les "nouvelles" matières prévues pour les diplômes. Ainsi, outre les questions de législation, ils ont abordé le management de l'équipe, et aussi des questions plus institutionnelles. Vu les notes obtenues à l'issue du stage, tous sont unanimes : le nombre d'heures actuel ne leur permet pas de se sentir à l'aise avec toutes les questions. Salariés comme responsables pensent qu'il faut davantage d'heures de formation et le nombre évoqué par le décret et l'arrêté -
140 h pour un conseiller - leur paraît plus en adéquation avec les compétences demandées.
De l'employeur…
Pour sa part Stéphanie Graffard, responsable des pompes funèbres Gimel à Houdan (78) s'est félicitée de la mise en place de ce diplôme qui lui permettra lors des entretiens d'embauche de faire un pré-tri parmi les candidats. "Celui ou celle qui est diplômé(e) aura déjà prouvé sa volonté de connaître notre secteur d'activité. J'ai constaté que parmi mes camarades à l'E.NA.ME.F, certains financent eux-mêmes leur formation, ce qui m'a agréablement surprise. J'ai convenu avec une stagiaire de la prendre en stage dès que possible, car j'ai pu me faire une idée de sa motivation mais aussi de son sens de l'équipe, de sa ponctualité, etc.”
À l'employé…
Pour Monique, qui justifie d'un long parcours dans l'événementiel et a choisi ce secteur pour sa reconversion professionnelle, il n'y a pas d'ambiguïté. “Même si je suis recrutée le
1er juillet et que je possède mes 6 mois d'expérience au 1er janvier 2013, je tiens à passer le diplôme. Je l'envisage comme un véritable "plus".”
140 h pour un conseiller - leur paraît plus en adéquation avec les compétences demandées.
De l'employeur…
Pour sa part Stéphanie Graffard, responsable des pompes funèbres Gimel à Houdan (78) s'est félicitée de la mise en place de ce diplôme qui lui permettra lors des entretiens d'embauche de faire un pré-tri parmi les candidats. "Celui ou celle qui est diplômé(e) aura déjà prouvé sa volonté de connaître notre secteur d'activité. J'ai constaté que parmi mes camarades à l'E.NA.ME.F, certains financent eux-mêmes leur formation, ce qui m'a agréablement surprise. J'ai convenu avec une stagiaire de la prendre en stage dès que possible, car j'ai pu me faire une idée de sa motivation mais aussi de son sens de l'équipe, de sa ponctualité, etc.”
À l'employé…
Pour Monique, qui justifie d'un long parcours dans l'événementiel et a choisi ce secteur pour sa reconversion professionnelle, il n'y a pas d'ambiguïté. “Même si je suis recrutée le
1er juillet et que je possède mes 6 mois d'expérience au 1er janvier 2013, je tiens à passer le diplôme. Je l'envisage comme un véritable "plus".”
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