La quatrième édition du SALON PROFESSIONNEL FUNERAIRE GRAND SUD s’est tenu les 24 et 25 juin derniers au Pavillon du Stade Toulousain, dans le respect des consignes sanitaires en vigueur. L’évènement Occitan, qui s’affirme d’année en année, s’est déroulé dans une atmosphère conviviale faite de moments de partage, de business et d’échanges. Les exposants nous font partager leurs impressions…
Funéprint : quatre questions à Claude Pasquier
Résonance : Dans ce contexte si particulier avec en toile de fond une crise sanitaire qui perdure, quelles sont les principales raisons et/ou motivations qui vous ont amenés à participer à cette nouvelle édition du SPFGS Toulouse ?
Claude Pasquier : Un salon est un moment d’échange et de découverte, et cela reste le moment privilégié qui permet de pérenniser une relation étroite client/fournisseur. En effet, Funéprint ne vend pas de stocks de registres, de boîtes… mais fait du sur-mesure pour tous ses clients. La pompe funèbre n’achète plus un registre ou un volume, mais crée son registre, son coffret... qui correspondent parfaitement à l’ambiance et à l’image de la pompe funèbre ; le registre devient un outil avec une valeur ajoutée en communication qui permet à nos clients de se différencier de la concurrence… Notre offre est unique et originale, alors notre présence sur un salon nous permet de prendre le temps d’expliquer notre originalité et l’étendue de nos possibilités.
R : Quel a été votre ressenti vis-à-vis de ce quatrième millésime ?
CP : Nous avons été agréablement surpris lors de notre arrivée par le nombre ainsi que la représentation des exposants… et l’excellente ambiance qui régnait déjà.
Prémices d’un bon salon qui s’est confirmé le lendemain avec un déplacement de visiteurs de qualité.
R : D’un point de vue commercial, ce salon vous a-t-il permis d’atteindre de nouveaux clients et a-t-il été apporteur d’affaires pour votre entreprise ?
CP : Funéprint est une TPE et notre outil, partagé avec nos client, est notre site Internet, alors c’est avec beaucoup d’impatience que nous attendions un nouveau salon pour mettre des visages sur des prénoms et des voix. Nous étions également quelque peu fébriles, car Funéprint a posé ses locaux en Occitanie, et c’est avec beaucoup de chaleur et d’intérêt que nous avons été accueillis par nos visiteurs.
Nous avons partagé beaucoup de projets humains, de projets d’entreprises, de logos et de nouvelles lignes graphiques à créer et à projeter pour cette nouvelle édition.
Au pied du stade, essai transformé !
R : Pour conclure, auriez-vous des attentes particulières pour la prochaine édition ?
CP : Le Salon Grand Sud a pris ses marques et arrive à maturité. C’est une date qui s’ancre sur le calendrier. À l’année prochaine.
Résonance n° 172 - Juillet 2021
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