Basées à Roquefort-la-Bédoule dans les Bouches-du-Rhône – mais rayonnant aussi sur le Var –, les Pompes Funèbres SANTO & JULIEN se développent depuis plusieurs années. Dans le cadre de ce déploiement, elles inaugureront le 26 août leur nouveau funérarium. Découverte d’une entreprise familiale dynamique en Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Roger Santo. |
Joël Julien. |
Ugo Giannone. |
Accueil.
Une ambition familiale
Plus récemment arrivé et représentant la troisième génération, le gendre de Joël Julien – et donc petit-fils de Roger Santo –, Ugo Giannone, porteur des valeurs fondatrices (sérieux, écoute et considération) défendues par les familles SANTO & JULIEN, rejoint en 2014 l’entreprise pour s’y investir totalement, pour relever le défi de la pérennité de la "Maison", et avec l’ambition d’accompagner et épauler au mieux les familles, dans ce moment délicat que représente la perte d’un être cher.
C’est ce dernier, en parfaite symbiose avec les autres membres du cercle familial, qui a eu l’idée de construire, d’ouvrir un funérarium à Roquefort-La Bédoule. "Les traditions, les habitudes changent ainsi que les modes d’obsèques. Je pense que, depuis quelques années, la tendance est plus d’amener le corps dans un salon funéraire que de l’exposer au domicile. Par rapport à cela, il me paraissait nécessaire, compte tenu de l’évolution de notre société, que nous ayons notre propre équipement."
L’édifice funéraire va se situer dans la zone industrielle nommée la Plaine du Caire. C’est un emplacement très favorable et central géographiquement par rapport à Aubagne, La Ciotat, Gémenos, Cassis, avec l’autoroute gratuite à proximité. C’est un véritable point stratégique, à distance logique des équipements de leurs confrères, générant ainsi une bonne répartition des salons funéraires disponibles sur ce territoire.
Plus récemment arrivé et représentant la troisième génération, le gendre de Joël Julien – et donc petit-fils de Roger Santo –, Ugo Giannone, porteur des valeurs fondatrices (sérieux, écoute et considération) défendues par les familles SANTO & JULIEN, rejoint en 2014 l’entreprise pour s’y investir totalement, pour relever le défi de la pérennité de la "Maison", et avec l’ambition d’accompagner et épauler au mieux les familles, dans ce moment délicat que représente la perte d’un être cher.
C’est ce dernier, en parfaite symbiose avec les autres membres du cercle familial, qui a eu l’idée de construire, d’ouvrir un funérarium à Roquefort-La Bédoule. "Les traditions, les habitudes changent ainsi que les modes d’obsèques. Je pense que, depuis quelques années, la tendance est plus d’amener le corps dans un salon funéraire que de l’exposer au domicile. Par rapport à cela, il me paraissait nécessaire, compte tenu de l’évolution de notre société, que nous ayons notre propre équipement."
L’édifice funéraire va se situer dans la zone industrielle nommée la Plaine du Caire. C’est un emplacement très favorable et central géographiquement par rapport à Aubagne, La Ciotat, Gémenos, Cassis, avec l’autoroute gratuite à proximité. C’est un véritable point stratégique, à distance logique des équipements de leurs confrères, générant ainsi une bonne répartition des salons funéraires disponibles sur ce territoire.
Salon Cap Naio.
Une identité provençale marquée
Le funérarium comprend un espace d’accueil et deux salons dans la partie dédiée au public, avec une forte prégnance de l’identité locale. Le premier se nomme Cap Naio, nom provençal du Cap Canaille (une falaise de Cassis), et le second s’intitule Lou Garlaban, un sommet qui surplombe la ville et la plaine d’Aubagne. "Ce sont, pour nous, deux massifs représentant le point de départ et le point d’arrivée du territoire que nous couvrons. Et nous avons privilégié leurs noms provençaux pour bien inscrire notre entreprise dans son pays qu’est la Provence, et affirmer notre attachement à notre culture."
"Côté technique, il y a un grand laboratoire avec une grande cellule réfrigérée pouvant accueillir trois corps, une table réfrigérée. Attenants au funérarium, ont été installés le dépôt de cercueils et l’atelier pour les équiper (capiton, poignées, etc.). Cela permet d’avoir une logistique efficace et d’être rapide, réactifs, au moment de la mise en bière, avec possibilité de soins au préalable."
Si l’inauguration n’aura lieu qu’à la fin du mois d’août, l’ouverture devrait se faire probablement deux semaines avant. En effet, la dernière visite du Bureau Veritas ayant eu lieu début juillet, Ugo Giannone a envoyé immédiatement le dossier d’habilitation à la préfecture concernée. Compte tenu des délais habituels de traitement, les familles devraient avoir ces nouveaux salons funéraires rapidement à leur disposition.
Le funérarium comprend un espace d’accueil et deux salons dans la partie dédiée au public, avec une forte prégnance de l’identité locale. Le premier se nomme Cap Naio, nom provençal du Cap Canaille (une falaise de Cassis), et le second s’intitule Lou Garlaban, un sommet qui surplombe la ville et la plaine d’Aubagne. "Ce sont, pour nous, deux massifs représentant le point de départ et le point d’arrivée du territoire que nous couvrons. Et nous avons privilégié leurs noms provençaux pour bien inscrire notre entreprise dans son pays qu’est la Provence, et affirmer notre attachement à notre culture."
"Côté technique, il y a un grand laboratoire avec une grande cellule réfrigérée pouvant accueillir trois corps, une table réfrigérée. Attenants au funérarium, ont été installés le dépôt de cercueils et l’atelier pour les équiper (capiton, poignées, etc.). Cela permet d’avoir une logistique efficace et d’être rapide, réactifs, au moment de la mise en bière, avec possibilité de soins au préalable."
Si l’inauguration n’aura lieu qu’à la fin du mois d’août, l’ouverture devrait se faire probablement deux semaines avant. En effet, la dernière visite du Bureau Veritas ayant eu lieu début juillet, Ugo Giannone a envoyé immédiatement le dossier d’habilitation à la préfecture concernée. Compte tenu des délais habituels de traitement, les familles devraient avoir ces nouveaux salons funéraires rapidement à leur disposition.
Gil Chauveau
Résonance n° 162 - Juillet 2020
Résonance n° 162 - Juillet 2020
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