Nouvelles dates, nouveau lieu pour la deuxième édition du Salon Funéraire Grand Sud qui s’est déroulé les 13 et 14 juin derniers… Voici donc un premier retour de quelques participants.
Trois questions à STRADAL
Résonance : Quelles sont les principales raisons qui vous ont amené à participer au Salon Funéraire Grand Sud à Toulouse ?
STRADAL : Notre entreprise est un acteur majeur dans la fabrication de caveaux en éléments et de caveaux NF pour l’aménagement des cimetières, sans oublier tous les autres équipements tels que les ossuaires, les columbariums ou les casurnes en béton. Nous sommes surtout un acteur local, avec cinq sites de production. Trois sites assurent la fabrication de nos gammes funéraires et deux sites servent de dépôts pour enlèvements, proches de nos marbriers et collectivités.
Pour notre équipe, c’est donc l’opportunité de rencontrer nos clients et prospects, dans un espace vraiment dédié à des échanges constructifs, tant techniques que commerciaux, et hors des urgences du quotidien.
R : Sachant que celui-ci a une vocation régionale – pouvant être complémentaire de celle de Lyon –, comment avez-vous ressenti le choix du lieu et des dates (avant l’été), en matière de fréquentation, de richesse des échanges avec les opérateurs locaux, etc. ?
S : Le mois de juin est propice, plus calme par rapport aux temps forts funéraires du mois de novembre. Toulouse est un 3e pôle complémentaire aux deux évènementiels de Paris et de Lyon, sur un secteur géographique bien desservi pour drainer le large territoire du Sud-Ouest et du Sud-Est. Ce lieu central nous paraît judicieux.
C’est un salon régional donc nous nous attendions à une fréquen-
tation restreinte, ce qui s’est confirmé. Un peu déçus, mais la richesse des échanges compense largement la faible fréquentation.
R : Ce salon a-t-il été pour vous "apporteur d’affaires", avec de nouveaux clients potentiels et/ou avec la signature de nouvelles commandes déjà engagées ou pas ?
S : Les visiteurs viennent chercher des réponses. Nous avons effectivement noué de très bons contacts. D’ailleurs, leur temps de présence sur notre stand prouve cette qualité d’échanges. Nous avons également discuté avec d’autres exposants, complémentaires de notre offre. Ce réseautage permet d’avoir des pistes à suggérer à nos propres clients selon leurs problématiques du moment.
R : Quels sont, à votre avis, les points forts à retenir ainsi que les axes d’amélioration possibles ou souhaités à transmettre à l’organisateur ?
S : Nous n’étions pas présents lors de la 1re édition, donc impossible de comparer. L’une des suggestions serait de lancer la visibilité plus tôt et de s’ouvrir vers les collectivités autour de leurs préoccupations actuelles. Un salon tous les 2 ans semble également un bon rythme.
Résonance n° 152 - Juillet 2019
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