Trois questions à Kévin Pressacco, directeur commercial de Simplifia.
Stand Simplifia. |
Résonance : Quelles sont les principales raisons qui vous ont amené à participer à cette première édition du salon Grand Sud Toulouse ?
Kévin Pressacco : Il s’agissait d’une première pour un salon dans cette région, et l’on se devait d’être présents. Commercialement, nous ne couvrons pas à temps plein le Sud-Ouest de la France, c’était donc une bonne occasion de présenter ce qui a fait le buzz à Paris : nos innovations autour du logiciel, des sites Web, ainsi que de l’espace famille et ses services.
R : Sachant que celui-ci a une vocation régionale – pouvant être complémentaire de celle de Lyon –, comment avez-vous ressenti cette première édition, en matière de fréquentation, de richesse des échanges avec les opérateurs locaux et concernant l’organisation générale ?
KP : L’objectif de réunir en région des acteurs est une très bonne idée, et est complémentaire à Lyon et à Paris. Pour que ces évènements soient attractifs et appréciés, il est indispensable d’apporter de la valeur avec une approche différente de Paris, la seule notion de proximité peut ne pas suffire. Ce premier salon a été faible en termes de fréquentation, mais les échanges réguliers et de qualité. Rien à redire sur l’organisation, tout s’est bien déroulé.
R : Ce salon a-t-il été pour vous un "apporteur d’affaires" ? A-t-il permis l’approche de nouveaux clients potentiels, vous ouvrant ainsi de nouvelles perspectives sur un marché préalablement non couvert par votre entreprise ? Ou celui-ci vous a-t-il donné simplement la possibilité d’élargir votre clientèle sur un marché où vous étiez déjà présent ?
KP : Ce premier salon nous a permis d’élargir notre clientèle avec de nouveaux partenaires. Mais également plusieurs premiers échanges avec des acteurs souhaitant développer leur stratégie digitale afin d’anticiper les évolutions du marché et de nouveaux modes de consommation, ce qui laisse présager de nouveaux partenariats de qualité dans la région.
Résonance n°143 - Septembre 2018
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