Trois questions à Murielle Bataille, chargée d’affaires et formatrice chez Neptune – Microtec Informatique.
Stand Neptune. |
Résonance : Quelles sont les principales raisons qui vous ont amené à participer à cette première édition du Salon Grand Sud Toulouse ?
Murielle Bataille : Précisément la localisation à Toulouse, car certaines pompes funèbres des régions Occitanie et Nouvelle-Aquitaine ne viennent ni à Lyon ni à Paris pour des raisons de coût, de disponibilité ou d’éloignement. Sur un salon régional, nous avons plus de disponibilité à accorder aux visiteurs, car la fréquentation est moins intense, et la relation est donc plus personnalisée.
R : Sachant que celui-ci a une vocation régionale – pouvant être complémentaire de celle de Lyon –, comment avez-vous ressenti cette première édition, en matière de fréquentation, de richesse des échanges avec les opérateurs locaux et concernant l’organisation générale ?
MB : Nous avons vraiment trouvé que le hall, la disposition des stands, le snacking et la relation avec les organisateurs étaient très satisfaisants. Par contre, le site se trouve dans un environnement assez difficile d’accès (pas de transports en commun, signalétique et fléchage extérieurs insuffisants, stationnement compliqué…) et il semblerait souhaitable de trouver un autre lieu pour une prochaine édition.
La fréquentation a été assez inégale sur les deux journées, avec un net pic de contacts samedi entre le milieu de matinée et le milieu d’après-midi. Par contre, c’était vraiment faible samedi en fin de journée, donc à voir s’il ne faudrait pas mieux commencer dès vendredi matin pour finir samedi vers 17 h 00.
R : Ce salon a-t-il été pour vous un "apporteur d’affaires" ? A-t-il permis l’approche de nouveaux clients potentiels, vous ouvrant ainsi de nouvelles perspectives sur un marché préalablement non couvert par votre entreprise ? Ou celui-ci vous a-t-il donné simplement la possibilité d’élargir votre clientèle sur un marché où vous étiez déjà présent ?
MB : Nous n’avions pas pour objectif de découvrir de nouveaux marchés, mais de rencontrer de nouveaux prospects de la région, d’en profiter pour faire du relationnel avec des prospects déjà connus et aussi avec nos clients. Nous avons aussi créé ou renforcé des liens avec d’autres exposants, pouvant déboucher sur des partenariats.
Résonance n°143 - Septembre 2018
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