Le réseau de franchise POMPES FUNÈBRES DE FRANCE a été récemment racheté au printemps 2016, par Sandrine Thiéfine, présidente, qui a une forte expérience de près de 30 ans dans le secteur funéraire et plus de 12 ans dans le domaine de la franchise.
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| Sandrine Thiéfine, présidente du réseau POMPES FUNÈBRES DE FRANCE. |
La marque POMPES FUNÈBRES DE FRANCE est arrivée en force et s’impose d’ores et déjà sur le marché funéraire français. Le réseau se développe, il comptait un peu moins de quarante agences funéraires lors de son rachat. Six mois plus tard, 12 nouvelles agences funéraires vont ouvrir, notamment en région parisienne, dans le Nord et dans le Sud-Ouest de la France. Ces ouvertures prochaines sont aussi très bénéfiques pour la création d’emplois.
"Le réseau POMPES FUNÈBRES DE FRANCE a une vision innovante de l’activité funéraire pour mieux satisfaire les franchisés et les familles. Notre marque a le prestige d’un intitulé à l’accent patrimonial, ce qui attire les entrepreneurs. Nous avons de nombreuses demandes en cours d’analyse pour intégrer notre réseau. Nous avons déjà signé 12 contrats de franchise ce dernier mois. Les entrepreneurs funéraires souhaitent rejoindre une marque forte et rassurante. Notre réseau est en train de monter en puissance. Nous souhaitons les meilleurs acteurs funéraires du marché à nos côtés, et c’est avant toute chose dans l’intérêt des familles qui nous font confiance. Nous allons très rapidement atteindre les 100 agences, alors que nous avions prévu 300 agences en 10 ans", indique Sandrine Thiéfine.
Pourquoi un nouveau réseau d’agences de pompes funèbres ?
Le réseau POMPES FUNÈBRES DE FRANCE est né de cette envie de qualité et de respect. Professionnels chevronnés et dynamiques du funéraire, désireux de faire évoluer leurs pratiques au rythme de la société française, développent un réseau d’agences innovant, au plus près des attentes des familles en deuil. Portés par des valeurs de partage, de respect et d’excellence, ils s’engagent à fournir des prestations de grande qualité aux justes prix.
"Nous le garantissons, en demandant d’une part à nos franchisés de signer le Code de déontologie, véritable socle fondateur de la marque, et d’autre part en nous alliant avec les meilleurs fabricants français du funéraire. Pour cela, nous avons créé le label "Partenaire d’Excellence" basé sur une reconnaissance mutuelle de valeurs fortes. Nous devons contribuer à la sauvegarde du savoir-faire français, qui est très important pour notre marque, les pratiques traditionnelles doivent être préservées.
Collaborer avec ces entreprises nationales de qualité permet d’assurer leur pérennité, la transmission des savoirs à la jeune génération, et la préservation de l’emploi sur notre territoire. Nous nous inscrivons dans une démarche de développement responsable qui bénéficiera à tous les acteurs, les familles comme les partenaires, dans un objectif commun de respect et de satisfaction" précise Sandrine Thiéfine.
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POMPES FUNÈBRES DE FRANCE
Sandrine Thiéfine : Nous sommes très heureux, le bilan est exceptionnel, j’ai envie de rajouter que l’année 2016 "est un très bon cru". De notre côté, c’était notre premier salon funéraire depuis le rachat de la marque au printemps dernier. L’ensemble de nos visiteurs ont été ravis de nous retrouver, l’ambiance était excellente. Nous avons rencontré des entrepreneurs formidables qui souhaitent intégrer notre réseau. ST : Nous avons présenté notre nouvelle marque ; notre marque interpelle et plaît énormément aux entrepreneurs. Elle est en train de s’imposer aujourd’hui sur le marché funéraire français. Nous sommes en voie de donner de la puissance au réseau, et nous avons expliqué aux entrepreneurs ce que nous allons leur apporter en matière de communication, de marketing, de partenaires d’excellence, de la prévoyance funéraire et des partenariats bancaires. ST : Nous sommes très satisfaits en ce qui concerne les visites sur notre stand, elles ont été très nombreuses. ST : Non, aucun problème de notre côté. |
Résonance : Quel bilan tirez-vous de ce Funexpo 2016 ?Résonance n°124 - Octobre 2016
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