"Ce voyage nous a permis de faire la connaissance du président et de quelques membres très sympathiques de la Fiat-Ifta, le syndicat mondial des opérateurs funéraires. (voir photo)
L’échange a été très convivial, dans un cadre particulièrement élégant, s’est réjoui Roger Schvartsman. Il faut reconnaître que c’est un très beau salon qui, malgré la crise sévère qui touche l’Italie, a su sauvegarder les apparences du faste et met en avant design et modernité.
Pour sa part, Chantal Golliet a trouvé que les exposants italiens apportent des idées novatrices, comme par exemple cette société qui propose des urnes très épurées en blanc ou noir, ou ces cercueils sur lesquels on peut placer un petit message sous un cœur en bois, que l’on conservera lors de l’inhumation ou de la crémation du défunt."
C’est une idée généreuse et cela permet à chacun de s’exprimer et de garder un peu quelque chose, un symbole d’affection.
Il y a d’autres idées, plus ou moins adaptables en France, comme ces vitraux très stylisés ou ces faire-part énormes, de plus de 50 cm de haut, dont j’ai appris que les mairies les affichent sur les murs de la ville, avec la photo du défunt, ou des cercueils entièrement sculptés avec des scènes religieuses.
J’ai d’ailleurs remarqué que la religion était très présente dans ce salon et que certains stands étaient tenus par des hommes ou femmes d’église, on y trouve également des tenues religieuses et un stand fait la publicité d’un salon, KOINÉ, dédié aux arts sacrés en 2013 à Vicence, entre Vérone et Padoue, au nord de l’Italie."
Rendez-vous a été pris en novembre à Lyon, et ce sera au tour de la Fédération Française des Pompes Funèbres (FFPF), co-organisateur de Funexpo avec Etai, de recevoir les membres de Tanexpo.
Florence Fresse,
déléguée générale de la FFPF.
L’échange a été très convivial, dans un cadre particulièrement élégant, s’est réjoui Roger Schvartsman. Il faut reconnaître que c’est un très beau salon qui, malgré la crise sévère qui touche l’Italie, a su sauvegarder les apparences du faste et met en avant design et modernité.
Pour sa part, Chantal Golliet a trouvé que les exposants italiens apportent des idées novatrices, comme par exemple cette société qui propose des urnes très épurées en blanc ou noir, ou ces cercueils sur lesquels on peut placer un petit message sous un cœur en bois, que l’on conservera lors de l’inhumation ou de la crémation du défunt."
C’est une idée généreuse et cela permet à chacun de s’exprimer et de garder un peu quelque chose, un symbole d’affection.
Il y a d’autres idées, plus ou moins adaptables en France, comme ces vitraux très stylisés ou ces faire-part énormes, de plus de 50 cm de haut, dont j’ai appris que les mairies les affichent sur les murs de la ville, avec la photo du défunt, ou des cercueils entièrement sculptés avec des scènes religieuses.
J’ai d’ailleurs remarqué que la religion était très présente dans ce salon et que certains stands étaient tenus par des hommes ou femmes d’église, on y trouve également des tenues religieuses et un stand fait la publicité d’un salon, KOINÉ, dédié aux arts sacrés en 2013 à Vicence, entre Vérone et Padoue, au nord de l’Italie."
Rendez-vous a été pris en novembre à Lyon, et ce sera au tour de la Fédération Française des Pompes Funèbres (FFPF), co-organisateur de Funexpo avec Etai, de recevoir les membres de Tanexpo.
Florence Fresse,
déléguée générale de la FFPF.
Suivez-nous sur les réseaux sociaux :