Respectant et appliquant le principe de la présomption d’innocence, et en l’attente des suites données à l’instruction de cette enquête, elle ne souhaite en aucune manière interférer dans ces dossiers, pour lesquels la justice est saisie et doit suivre son cours…
Elle rappelle que la crémation est un mode d’obsèques de plus en plus choisi par les Français (plus de 31 % en 2011). Cependant, incontestablement, le travail restant à réaliser dans ce domaine est immense, notamment en termes de transparence des prix, de qualité des prestations et de protection des familles (vulnérables lors d’un décès)… mais aussi de respect absolu, de dignité, vis-à-vis du défunt et de ses volontés exprimées.
C’est tout le sens de l’éthique qui guide le mouvement crématiste, désintéressé financièrement et indépendant de tout mouvement politique, philosophique, économique ou religieux. Organisé au sein de la Fédération Française de Crémation (FFC), association loi 1901, il n’est donc pas opérateur funéraire mais agit bénévolement (avec le concours des 140 associations qu’elle regroupe) pour la liberté, la dignité, la laïcité du choix du mode d’obsèques par crémation, dans un esprit de tolérance et de respect, par le dialogue et la solidarité.
Concernant les crématoriums, la FFC rappelle que ce sont des équipements de service public, dont la gestion (voire la construction) peuvent être confiées à un prestataire privé (entreprise habilitée), dans le cadre d’une Délégation de Service Public (DSP). Mais, dans tous les cas, la mise en œuvre et la gestion de ce service public doivent toujours être surveillées et contrôlées par les élus qui ont délégué le service… et en restent responsables !
Les pratiques devant être mieux encadrées et l’être humain mieux protégé, les crématistes demandent pour chaque crématorium :
- la mise en place de procédures plus strictes de sécurité (exemple : instaurer l’obligation de pose d’une pastille réfractaire avant le début de la crémation et l’obligation de son placement dans l’urne après la crémation) ;
- l’instauration obligatoire d’un comité d’éthique regroupant élus, professionnels et associations représentant les usagers et les familles ;
- l’instauration de schémas régionaux d’implantation, pour éviter une dégradation des services aux familles, du fait d’une concurrence exacerbée.
Ils demandent également :
- une réelle application des devis types prévus par la loi, pour lutter contre la hausse des prix dans le funéraire (2 fois plus vite que l’inflation) et contre les pratiques abusives de certains opérateurs ;
- l’encadrement et la moralisation des contrats-obsèques, proposés par beaucoup trop d’organismes (parfois sans aucune compétence dans le domaine funéraire).
Elle rappelle que la crémation est un mode d’obsèques de plus en plus choisi par les Français (plus de 31 % en 2011). Cependant, incontestablement, le travail restant à réaliser dans ce domaine est immense, notamment en termes de transparence des prix, de qualité des prestations et de protection des familles (vulnérables lors d’un décès)… mais aussi de respect absolu, de dignité, vis-à-vis du défunt et de ses volontés exprimées.
C’est tout le sens de l’éthique qui guide le mouvement crématiste, désintéressé financièrement et indépendant de tout mouvement politique, philosophique, économique ou religieux. Organisé au sein de la Fédération Française de Crémation (FFC), association loi 1901, il n’est donc pas opérateur funéraire mais agit bénévolement (avec le concours des 140 associations qu’elle regroupe) pour la liberté, la dignité, la laïcité du choix du mode d’obsèques par crémation, dans un esprit de tolérance et de respect, par le dialogue et la solidarité.
Concernant les crématoriums, la FFC rappelle que ce sont des équipements de service public, dont la gestion (voire la construction) peuvent être confiées à un prestataire privé (entreprise habilitée), dans le cadre d’une Délégation de Service Public (DSP). Mais, dans tous les cas, la mise en œuvre et la gestion de ce service public doivent toujours être surveillées et contrôlées par les élus qui ont délégué le service… et en restent responsables !
Les pratiques devant être mieux encadrées et l’être humain mieux protégé, les crématistes demandent pour chaque crématorium :
- la mise en place de procédures plus strictes de sécurité (exemple : instaurer l’obligation de pose d’une pastille réfractaire avant le début de la crémation et l’obligation de son placement dans l’urne après la crémation) ;
- l’instauration obligatoire d’un comité d’éthique regroupant élus, professionnels et associations représentant les usagers et les familles ;
- l’instauration de schémas régionaux d’implantation, pour éviter une dégradation des services aux familles, du fait d’une concurrence exacerbée.
Ils demandent également :
- une réelle application des devis types prévus par la loi, pour lutter contre la hausse des prix dans le funéraire (2 fois plus vite que l’inflation) et contre les pratiques abusives de certains opérateurs ;
- l’encadrement et la moralisation des contrats-obsèques, proposés par beaucoup trop d’organismes (parfois sans aucune compétence dans le domaine funéraire).
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