Cette étude met en évidence les points suivants :
- Les Français conservent un rapport assez traditionnel à la mort même si cette vision est bousculée par des valeurs de modernité.
- La mort s’est personnalisée, institutionnalisée, matérialisée, déritualisée, hyper-médiatisée et désocialisée.
- Les principales attentes des familles à l’égard des professionnels funéraires restent avant tout des besoins d’expertise et de compétence élargis, des besoins d’information et d’assistance. Les besoins d’accueil et d’accompagnement restent quant à eux fondamentaux.
- Le besoin de “réussir” sa mort et donc ses obsèques, comme on “réussit” sa vie familiale, professionnelle, affective etc., est un besoin émergent.
- Le métier des pompes funèbres n’est pas considéré comme un métier comme les autres. C’est en effet un métier noble qu’il ne faut pas chercher à banaliser mais qui doit évoluer, avec des exigences accrues de professionnalisme.
- La crémation est une idée qui a priori plaît aux Français mais qui génère cependant des vécus difficiles, entraînant des perspectives incertaines quant à la poursuite de son développement.
- Les obsèques sont impactées par le recul de la religion mais malgré cela le besoin de célébration reste majeur.
- Le besoin d’un lieu de souvenir persiste alors que paradoxalement le culte des morts recule et que les lieux traditionnels sont de plus en plus délaissés.
- Les nouvelles technologies (internet…) sont jugées, dans certains cas, utiles (condoléances par exemple) et dans d’autres cas déplacées (cérémonies filmées par ex.).
- L’écologie est un plus qui n’est pas considéré comme primordial.
- Le coût des obsèques reste un aspect secondaire pour les Français par rapport à la qualité de service.
En conclusion, le funéraire reste un secteur traditionnel qui doit se professionnaliser, rester attentif à son cœur de métier et innover sans trahir.
- Les Français conservent un rapport assez traditionnel à la mort même si cette vision est bousculée par des valeurs de modernité.
- La mort s’est personnalisée, institutionnalisée, matérialisée, déritualisée, hyper-médiatisée et désocialisée.
- Les principales attentes des familles à l’égard des professionnels funéraires restent avant tout des besoins d’expertise et de compétence élargis, des besoins d’information et d’assistance. Les besoins d’accueil et d’accompagnement restent quant à eux fondamentaux.
- Le besoin de “réussir” sa mort et donc ses obsèques, comme on “réussit” sa vie familiale, professionnelle, affective etc., est un besoin émergent.
- Le métier des pompes funèbres n’est pas considéré comme un métier comme les autres. C’est en effet un métier noble qu’il ne faut pas chercher à banaliser mais qui doit évoluer, avec des exigences accrues de professionnalisme.
- La crémation est une idée qui a priori plaît aux Français mais qui génère cependant des vécus difficiles, entraînant des perspectives incertaines quant à la poursuite de son développement.
- Les obsèques sont impactées par le recul de la religion mais malgré cela le besoin de célébration reste majeur.
- Le besoin d’un lieu de souvenir persiste alors que paradoxalement le culte des morts recule et que les lieux traditionnels sont de plus en plus délaissés.
- Les nouvelles technologies (internet…) sont jugées, dans certains cas, utiles (condoléances par exemple) et dans d’autres cas déplacées (cérémonies filmées par ex.).
- L’écologie est un plus qui n’est pas considéré comme primordial.
- Le coût des obsèques reste un aspect secondaire pour les Français par rapport à la qualité de service.
En conclusion, le funéraire reste un secteur traditionnel qui doit se professionnaliser, rester attentif à son cœur de métier et innover sans trahir.
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