Composé de plusieurs zones destinées au confort des familles en deuil, d'une petite et d'une grande salle de cérémonie de respectivement 30 et 180 places assises, d'un accès facilité pour les personnes à mobilité réduite ainsi que d'un parking et de bassins, le crématorium de Saint-Malo propose également des prestations innovantes de plus en plus demandées par les familles des défunts s'étant prononcé comme près d'un tiers des français, en faveur de la crémation.
En plus du cadre verdoyant et des locaux destinés à faciliter la traversée d'une épreuve difficile, un large éventail de 6 créneaux horaires
quotidiens est disponible pour les crémations demandées par les entreprises funéraires locales. Un cérémonial civil personnalisé, une gamme d'urnes funéraires sont à la disposition des familles ainsi que des prestations complémentaires telles que :
- matériel de sonorisation,
- écrans plasmas diffusant photos ou vidéos ainsi que la cérémonie ou encore CD enregistré et transmission par internet sur demande.
Un peu d’histoire…
La crémation a été institutionnalisée en Asie par le bouddhisme et l'hindouisme, devenant avec l'enterrement l'un des modes funéraires les plus communément utilisés par l'Homme. Les cendres peuvent ensuite faire l'objet d'un rituel, comme être conservées dans une urne, une sépulture ou encore
dispersées dans un lieu naturel. Le terme "crémation" vient du latin "cremare" qui signifie "brûler" et c'est la chaleur du four chauffé à 850 °C pendant environ 1 h15 qui réduit en cendres le cercueil.
L'Église catholique romaine tolère la crémation depuis le 5 juil. 1963, les protestants ne s'y opposent pas et les différents courants de l'Église orthodoxe ont des positions variées. Traditionnellement interdite par le judaïsme, vers la fin du XIXe siècle la crémation commença à être utilisée par les Juifs libéraux.
L'usage de la crémation en France est autorisé depuis la loi du 15 nov. 1887, le décret d'application ayant été publié en 1889 et la première crémation officielle ayant eu lieu au cimetière du Père-Lachaise.
En 1980, cette technique n'était toutefois utilisée que pour moins de 1 % des décès, en 1994 elle atteignait plus de 10 % et en 2004 près de 25 %. La France compte aujourd'hui près de 150 crématoriums et pour un nombre annuel de décès d'environ 560 000, c'est presqu'un tiers des défunts qui est concerné.
Aux États-Unis, la proportion est de 32 % et dans plusieurs pays européens, le taux est très élevé (Suisse 80 %, Royaume-Uni 70 %).
En plus du cadre verdoyant et des locaux destinés à faciliter la traversée d'une épreuve difficile, un large éventail de 6 créneaux horaires
quotidiens est disponible pour les crémations demandées par les entreprises funéraires locales. Un cérémonial civil personnalisé, une gamme d'urnes funéraires sont à la disposition des familles ainsi que des prestations complémentaires telles que :
- matériel de sonorisation,
- écrans plasmas diffusant photos ou vidéos ainsi que la cérémonie ou encore CD enregistré et transmission par internet sur demande.
Un peu d’histoire…
La crémation a été institutionnalisée en Asie par le bouddhisme et l'hindouisme, devenant avec l'enterrement l'un des modes funéraires les plus communément utilisés par l'Homme. Les cendres peuvent ensuite faire l'objet d'un rituel, comme être conservées dans une urne, une sépulture ou encore
dispersées dans un lieu naturel. Le terme "crémation" vient du latin "cremare" qui signifie "brûler" et c'est la chaleur du four chauffé à 850 °C pendant environ 1 h15 qui réduit en cendres le cercueil.
L'Église catholique romaine tolère la crémation depuis le 5 juil. 1963, les protestants ne s'y opposent pas et les différents courants de l'Église orthodoxe ont des positions variées. Traditionnellement interdite par le judaïsme, vers la fin du XIXe siècle la crémation commença à être utilisée par les Juifs libéraux.
L'usage de la crémation en France est autorisé depuis la loi du 15 nov. 1887, le décret d'application ayant été publié en 1889 et la première crémation officielle ayant eu lieu au cimetière du Père-Lachaise.
En 1980, cette technique n'était toutefois utilisée que pour moins de 1 % des décès, en 1994 elle atteignait plus de 10 % et en 2004 près de 25 %. La France compte aujourd'hui près de 150 crématoriums et pour un nombre annuel de décès d'environ 560 000, c'est presqu'un tiers des défunts qui est concerné.
Aux États-Unis, la proportion est de 32 % et dans plusieurs pays européens, le taux est très élevé (Suisse 80 %, Royaume-Uni 70 %).
Stéphane Allion,
directeur du crématorium de Saint-Malo.
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