Notre priorité : nos adhérents

Depuis longtemps, à la Fédération Française des Pompes Funèbres (FFPF), nous avons souhaité mettre en avant nos adhérents, notamment sur les pages qui nous sont réservées dans la presse funéraire.

Stand FFPF à Funexpo

Depuis longtemps, nous essayons de proposer des articles qui permettent de connaître de nouveaux visages, les visages de ceux qui font la profession. Avez-vous remarqué que nous ne faisons pas - ou très peu - la couverture de vos revues ? Que souvent, ce sont des photos de réunions auxquelles vous participez qui sont mises à l’honneur ? Car nous avons bien conscience qu’une fédération comme la nôtre, connue de toute la profession, fière de ses quarante-trois années d’existence, n’existerait pas sans les entreprises qui la composent et la sollicitent.

Ces entreprises, souvent familiales, attachées à leur indépendance, et ô combien indispensables dans le  tissu social des communes, sont pour certaines d’entre elles à l’initiative d’une action importante pour la profession. "Cette action, d’abord locale, discrète, ni médiatique ni médiatisée, permet à d’autres entreprises de travailler dans de meilleures conditions".

Lors d’une réunion régionale à Marseille

 Ainsi, récemment, les établissements Durand, à Marseille, nous ont sollicités, nous signalant qu’un hôpital facturait aux entreprises de pompes funèbres des frais relatifs aux soins ou aux toilettes, alors que les familles elles-mêmes ne les avaient pas demandés. "Grâce à l’appel de cette entreprise, nous avons pris contact avec la direction de l’hôpital qui va mettre fin à cette anomalie ; nos adhérents l’ont appris dans le petit bulletin mensuel que nous leur faisons parvenir."

Le motif des appels reçus à la fédération est souvent intimement lié aux questions des familles. Il y a deux mois, par exemple, l’entreprise Lucas, à Beauchamp dans la Somme, nous interpellait à propos d’une dame souhaitant faire poser une pierre tumulaire sur la tombe d’un ami décédé qui lui était cher et avait été inhumé dans une commune proche. La mairie s’y opposait verbalement. Contactée par nous, la mairie disait y réfléchir. Nous avons donc écrit  à la préfecture  et venons de recevoir un courrier de la mairie permettant à cette dame d’apposer sur la fosse une pierre sépulcrale, comme le prévoit le Code Général des Collectivités Territoriales (CGCT).

En décembre, nous remettrons à nos chefs d’entreprises fidèles depuis plus de trente ans une médaille. Petit objet sans grande valeur marchande,mais symbole  puissant  du cœur  et de l’ouvrage : notre gratitude pour leur présence à nos côtés.

Plus d’infos très bientôt…

Florence Fresse