Activité en fort développement, la vente de bijoux Les Empreintes est synonyme, pour les opérateurs funéraires, d’un chiffre d’affaires complémentaire et d’une plus-value réelle, ainsi que de prestige du fait de la qualité des collections et des métaux précieux proposés.
Cela est consolidé par la volonté entrepreneuriale d’Antoine Van Goethem, dirigeant de l’entreprise, qui affirme avec force sa vocation à ne pas vendre ses créations en direct aux familles, mais à privilégier la collaboration avec les pompes funèbres.
La société Les Empreintes annonce le lancement sur son site de la possibilité de personnaliser en ligne les chevalières et les bagues faisant partie de la nouvelle collection ayant intégré les gammes du bijoutier de l’Oise en 2022 (voir Résonance n° 181). Ces modèles existent en deux versions pour les premières, "Héritage" et "Tradition", et en quatre pour les secondes, "Ruban 4*1.3", "Ruban 6*1.2", "Demi-jonc 3*1.2" et "Demi-jonc 5*1.5". Celles-ci sont accessibles, bien sûr, via l’item "Bijou" situé en haut à droite dans le configurateur. Rappelons que les métaux précieux (ou alliages) proposés sont, comme pour les autres articles, l’or jaune 18 carats, l’or blanc 18 carats, le vermeil et l’argent 925, en deux finitions : polie ou brossée.
Une collection complète pour rendre le souvenir précieux et unique
"Ces modèles sont disponibles à la vente pour tous nos clients, même ceux ne les ayant pas en présentation dans leur magasin. Les délais de livraison sont ici de quinze jours sur ces nouveautés et nous travaillons actuellement à les réduire au maximum afin qu’ils soient identiques à ceux des colliers et des bracelets. Nous avons tout de suite constaté une forte demande", précise Antoine Van Goethem, directeur.
Il est également possible aujourd’hui pour les pompes funèbres distributrices d’avoir ces nouveaux articles dans leur coffret de présentation qui comprend neuf cases dont seuls cinq étaient utilisés. Déjà 200 clients ont fait le choix de les intégrer dans ce petit coffre en leur possession avec les autres produits de la gamme. Le coût pour ajouter ces éléments est de 99 euros (pour deux chevalières et deux bagues). Est comprise dans celui-ci la remise en état des autres bijoux déjà présents dans l’écrin d’exposition.
Innovation et design dignes d’un orfèvre
Du point de vue graphique, les chevalières (de type héraldique) peuvent recevoir à l’extérieur la gravure d’un blason, d’une empreinte, d’un message sur le plateau de celle-ci et ajouter, à l’intérieur, un petit mot de cinq caractères maximum ou des initiales (limitation due à des raisons techniques). Pour les bagues, tout est possible, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, message comme empreinte.
D’autres développements sont en cours avec, notamment, la création d’un nouveau modèle de coffret de présentation, le déploiement de l’activité commerciale sur d’autres pays que la France. Dans ce cadre-là, le bijoutier prépare actuellement sa participation dans différents salons internationaux. Cette perspective stimulant les changements et les évolutions à venir, Antoine Van Goethem réfléchit et travaille sur de nouveaux modes de communication, sur des offres inédites.
Déploiement géographique et formation commerciale à l’ordre du jour
Il envisage également la formation de ses distributeurs avec des moyens novateurs dont une vidéo formative particulièrement destinée aux nouveaux partenaires. Celle-ci aura pour objet le fonctionnement du partenariat spécifique avec les agences funéraires, les principes encadrant la commercialisation des bijoux Les Empreintes, les avantages ainsi que la plus-value générée, l’acquisition et/ou le développement des compétences nécessaires à la vente de ce type d’articles.
Les Empreintes confirment leur volonté de continuer à travailler avec les pompes funèbres et ne souhaitent pas pour les prochaines années vendre en direct aux familles. L’entreprise réitère son entière confiance aux opérateurs funéraires, partenaires actuels ou à venir. "Nous tenons à respecter nos engagements et, à aucun moment depuis notre lancement, nous avons changé de principe… nous ne vendons pas nos bijoux en direct au public. Nous ne voulons pas laisser les pompes funèbres de côté. Par rapport à la concurrence, c’est un élément de différenciation important."
Gil Chauveau
Résonance n° 190 - Avril 2023
Résonance n° 190 - Avril 2023
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