"Donner notre nom à notre agence, c’était aussi pour nous une façon de montrer aux familles que nous sommes, en tant que famille nous aussi, à leur écoute dans le respect de la législation funéraire.
L’idée germait depuis un moment d’ouvrir une agence funéraire et nous avons pris contact tout naturellement avec la Fédération Française des Pompes Funèbres (FFPF) via leur site internet. Ayant appris que des formations étaient obligatoires pour exercer, nous avons suivi une formation à l’École Nationale des Métiers du Funéraire (E.NA.ME.F), à Paris."
"Christophe et Gaëlle sont effectivement venus en stage en mars 2010", raconte Florence Fresse "et dès l’ouverture de leur boutique, ils ont adhéré à la Fédération Française des Pompes Funèbres. Bien leur en a pris car les choses n’ont pas été simples. Malgré de belles vitrines et un emplacement choisi, personne n’entrait dans l’agence, même pas pour un renseignement ou une plaque. "
"Effectivement, ajoute Christophe, dans la commune où nous nous sommes implantés nous avons fini par découvrir le "pot aux roses", à savoir que la mairie dirigeait les familles de défunt vers notre principal concurrent, lequel a des liens familiaux privilégiés avec la commune ...
Nous en avons averti la fédération, qui nous a conseillé de faire appel à un huissier de justice pour constater l’infraction au Code Général des Collectivités Territoriales (CGCT). Le constat établi, nous avons transmis le rapport de l’huissier à la FFPF qui par l’action de son avocat est intervenue entre autres auprès de la préfecture."
"Il est important de se savoir soutenus et bien conseillés, renchérit Gaëlle, lorsque j’appelle la fédération, je groupe mes questions et je préviens que j’en aurai pour un moment, mais ça ne m’a jamais été reproché. La FFPF est comme une arrière-boutique dans laquelle je peux trouver des réponses, et où je suis toujours accueillie chaleureusement, ce qui nous paraît important, et l’était tout particulièrement lorsque nous débutions. Récemment, nous avons envoyé en stage un ami qui est salarié intermittent chez nous. En toute confiance."
L’idée germait depuis un moment d’ouvrir une agence funéraire et nous avons pris contact tout naturellement avec la Fédération Française des Pompes Funèbres (FFPF) via leur site internet. Ayant appris que des formations étaient obligatoires pour exercer, nous avons suivi une formation à l’École Nationale des Métiers du Funéraire (E.NA.ME.F), à Paris."
"Christophe et Gaëlle sont effectivement venus en stage en mars 2010", raconte Florence Fresse "et dès l’ouverture de leur boutique, ils ont adhéré à la Fédération Française des Pompes Funèbres. Bien leur en a pris car les choses n’ont pas été simples. Malgré de belles vitrines et un emplacement choisi, personne n’entrait dans l’agence, même pas pour un renseignement ou une plaque. "
"Effectivement, ajoute Christophe, dans la commune où nous nous sommes implantés nous avons fini par découvrir le "pot aux roses", à savoir que la mairie dirigeait les familles de défunt vers notre principal concurrent, lequel a des liens familiaux privilégiés avec la commune ...
Nous en avons averti la fédération, qui nous a conseillé de faire appel à un huissier de justice pour constater l’infraction au Code Général des Collectivités Territoriales (CGCT). Le constat établi, nous avons transmis le rapport de l’huissier à la FFPF qui par l’action de son avocat est intervenue entre autres auprès de la préfecture."
"Il est important de se savoir soutenus et bien conseillés, renchérit Gaëlle, lorsque j’appelle la fédération, je groupe mes questions et je préviens que j’en aurai pour un moment, mais ça ne m’a jamais été reproché. La FFPF est comme une arrière-boutique dans laquelle je peux trouver des réponses, et où je suis toujours accueillie chaleureusement, ce qui nous paraît important, et l’était tout particulièrement lorsque nous débutions. Récemment, nous avons envoyé en stage un ami qui est salarié intermittent chez nous. En toute confiance."
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