Ce sujet nous préoccupe depuis des années... d'autant plus que nous sommes régulièrement sollicités par divers fabricants de ce type de produits et que nous sommes sensibles à la protection de l'environnement, à la volonté de polluer le moins possible notre planète, celle que nous allons laisser à nos descendants...
Le Groupe FUNECAP annonce l’acquisition de ROC•ECLERC auprès de Daniel Abittan, son actionnaire majoritaire, et de ses associés. FUNECAP, groupe d’infrastructures et de services funéraires présent en France et en Belgique, se renforce ainsi puissamment sur un secteur en pleine mutation pour atteindre un chiffre d’affaires "réseau" de près de 250 millions d’euros. FUNECAP a été créé et est contrôlé et dirigé par MM. Thierry Gisserot et Xavier Thoumieux, via leur société de gestion Ophiliam Management, qui deviennent co-présidents de ROC•ECLERC à l’occasion de cette acquisition.
Pour bien appréhender les tendances et comprendre les attentes des familles dans l’aménagement des espaces cinéraires, STRADAL n’a pas hésité à réaliser un tour de France et à interviewer les professionnels. Aujourd’hui, ce fabricant français implanté sur tout le territoire métropolitain propose des columbariums et casurnes adaptés à ce besoin de clarté et d’individualité propices au recueillement. Par son expérience au travers de très nombreuses réalisations, l’équipe peut être force de proposition et accompagner les porteurs de projets d’espaces cinéraires.
M. Bernard Brunet, maire de Montmeyran (26), est très satisfait des services de la société Granimond, et a, pour la troisième fois, fait appel à cette dernière pour la création et la réalisation du site cinéraire de la ville. Cette nouvelle collaboration a tout de même fait l’objet d’une demande particulière relative au transfert des urnes contenues dans les columbariums existants vers les nouveaux équipements. Marc Zouari, dirigeant de la société Granimond, a souhaité, en étroite collaboration avec monsieur Brunet, gérer personnellement cette procédure qui a fait l’objet d’une cérémonie très forte en émotions.
Les Pompes Funèbres des Communes Associées (PFCA) de la région de Saint-Brieuc attachent une importance particulière à ce cérémonial et souhaitent accompagner les parents dans ce deuil tout à fait singulier.
La crémation, phénomène de société ? C’était le thème d’un colloque du Comité National d’Éthique du Funéraire (CNEF) en 2009, compte tenu de la progression spectaculaire et continue de ce mode d’obsèques dans notre pays. Oui, on peut dire qu’aujourd’hui la crémation est entrée dans les mœurs en France (35 % des obsèques - prévision de 50 % d’ici 15 ans).
Depuis le temps que je m’occupe de funérailles, je me suis souvent torturé l’esprit en essayant de comprendre pour quelle raison, les prêtres acceptent de faire une cérémonie religieuse au crématorium, alors que les textes religieux sont clairement contre. J’ai donc fait quelques recherches et j’ai enfin trouvé une explication officielle. Je vous recommande de vous en souvenir ne serait-ce que pour votre culture personnelle. Voici donc l’explication.
Si la crémation est peu à peu rentrée dans les mœurs des Français, cela n’a pas toujours été le cas dans notre pays de tradition catholique. En effet, l’Église ne l’autorise que depuis le concile Vatican II. J’ai demandé quelques éclaircissements au père Franz de Boer, du diocèse de Cahors. Loin des formules alambiquées, entretien avec un prêtre qui a son franc-parler.
À l’inverse de l’inhumation, la crémation permet un retour symbolique du défunt par le médaillon "Lien Mémoria". Déposé sur le défunt par la famille avant la fermeture du cercueil, ce disque de métal est ensuite récupéré par l’opérateur du crématorium et remis à la famille dans son écrin.
"Les morts n’ont plus que les vivants pour ressource. Nos pensées sont pour eux les seuls chemins du jour."
Paul Valéry
Avec l’évolution de la législation funéraire qui ne permet plus de garder les cendres du défunt au domicile, le manque de place dans les cimetières, l’évolution des mentalités mais également le contexte économique actuel, de nombreuses familles choisissent la dispersion des cendres.
Dans les années 1990, le nombre des crémations a progressé en France de façon spectaculaire. C’est à la même époque qu’OrthoMetals a vu le jour, en répondant à une préoccupation non négligeable dans l’activité des crématoriums.
PERSONIFIA est aujourd’hui un concept moderne fait pour "rendre hommage autrement" en basant la cérémonie sur la passion qui caractérisait le défunt. Rencontre avec Serge Clapier, directeur de PERSONIFIA.
La crémation n’est pas une pratique funéraire récente. Elle a été pratiquée par l’homme dès qu’il a maitrisé le feu. Pendant sa période nomade l’homme ne revenait jamais au même endroit. La crémation permettait de protéger la dépouille des prédateurs et aussi de s’attacher l’esprit du défunt dans le cadre de la migration du clan. La sédentarisation s’est accompagnée du développement de l’inhumation. Crémation et inhumation cohabitent depuis longtemps mais les religions monothéistes réprouvant toutes la crémation, cette pratique funéraire a considérablement faibli. Elle a même été interdite par une ordonnance de Charlemagne. Où en est-on aujourd’hui et à quelle évolution peut-on s’attendre ?
Depuis 100 000 ans, les hommes prennent soin de leurs morts. Cette attention sert à faire disparaître un corps de manière à ce qu’il ne soit pas soumis aux aléas de la nature (putréfaction, charognage). C’est également un acte qui semble compenser, pour Néandertal et sapiens, l’angoisse que génère chez eux le mystère de la mort. Ces premiers rites funéraires (projection d’ocres sur le corps et dépôt d’outils, d’os d’animaux dans la tombe) confèrent au cadavre, par le don de ces viatiques, une sorte de sacralité. Ces gestes veulent rendre le mort à un monde incompréhensible et, par là, angoissant.
Cette édition spéciale "crémation" du magazine Résonance est une très belle opportunité pour représenter le concept et les produits novateurs de la marque française d’urnes funéraires Eco-Urne, en perspective du prochain salon professionnel FUNÉRAIRE PARIS 2015.
Le numéro spécial que consacre Résonance à la crémation pour ces mois d’été est l’occasion pour moi de rappeler l’exceptionnelle évolution qu’a connue ce mode de funérailles depuis quelques années. Alors que cette pratique avait été enfouie et presque totalement abandonnée par notre société judéo-chrétienne durant plusieurs siècles, elle ressurgit de façon extrêmement soudaine depuis quelques décennies.
Après 6 ans de recherches et d’essais, en partenariat avec DS Smith (l’un des deux leaders mondiaux du carton ondulé), ABCRÉMATION a trouvé la formule adéquate pour réaliser des cercueils en carton répondant aux obligations réglementaires et aux exigences de la norme D 80-001 (1 et 3). Revue des détails de ce long parcours avec sa dirigeante, Brigitte Sabatier.
CAPNEA est l’un des spécialistes français de la dispersion des cendres et de l’immersion d’urnes en mer. Jeune entreprise toulonnaise, elle dresse déjà, après quelques mois d’activité, un premier bilan positif. Dans celui-ci prend place une part importante de demandes d’immersion par délégation (après la rédaction d’un mandat de pouvoir en bonne et due forme) de la part de familles ne pouvant se déplacer pour la réalisation de cette dernière cérémonie.
Le groupe OGF, acteur historique considéré comme un référent du marché funéraire, a toujours été précurseur dans le domaine de la crémation. Il a anticipé son développement et est devenu le premier gestionnaire privé français de crématoriums. Parallèlement, il a toujours innové en adaptant son offre de services et de produits aux nouveaux besoins des familles qui optaient pour ce mode de sépulture. C’est ainsi qu’il a lancé une nouvelle gamme d’urnes résolument moderne qui diffère de l’offre plus conventionnelle et apporte aux familles un large choix pour matérialiser le souvenir de l’être disparu. À cette occasion, Résonance a interviewé Jean Ruellan, directeur du marketing et de la communication du groupe OGF.
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