Pour donner suite à l’adoption définitive, les 8 et 9 février derniers, de la loi intitulée "Différenciation, décentralisation, déconcentration, simplification" dites "3DS", nous avons rencontré le sénateur Jean-Pierre Sueur afin qu’il revienne, pour les lecteurs de Résonance, sur les divers points portant sur la réglementation funéraire et dont il est, pour tout ou partie, à l’origine par voie d’amendement. Explication.
Strassacker s’est forgé une réputation d’excellence tant dans la reproduction en bronze d’œuvres d’artistes que dans la réalisation d’ornements funéraires dans le même matériau, mais également en alu et en inox. Ces produits, issus des nombreux savoir-faire acquis par la maison allemande dans la fonderie d’art, sont aujourd’hui fabriqués tant en Allemagne qu’en France, dans les ateliers situés à Heimsbrunn (près de Mulhouse). Sur notre territoire, le marché de l’art sacré funéraire dans cet alliage noble plusieurs fois millénaire se soumet aux coutumes et pratiques régionales, initiant ainsi une économie spécifique à ce domaine. Pour mieux en comprendre les mécanismes, nous nous sommes entretenus avec François Dumez, responsable commercial pour la France.
Afin de rassembler le plus grand nombre (personnes civiles, opérateurs funéraires, fournisseurs…) et de mener des actions collectives percutantes, le mouvement "Je Choisis Mes Pompes Funèbres" se structure en association à but non lucratif. Son seul et unique but est de dénoncer et de faire respecter l’interdiction des partenariats, quels qu’ils soient, entre les banques, assurances, mutuelles, plateaux d’assistance et groupements funéraires, afin que les familles en deuil et souscripteurs de contrats obsèques soient libres de choisir leur entreprise de pompes funèbres.
Nouvelle venue dans le monde du funéraire, Alèxe Duvaut débute une thèse en science politique à Sciences Po Bordeaux sous la direction des chercheurs Pascale Trompette et Andy Smith, respectivement au CNRS laboratoire PACTE et au Centre Émile Durkheim. Sa recherche porte sur les politiques publiques liées à la mort. Résonance lui ouvre ses pages pour qu’elle nous parle de son travail.
Parti, en 2009, d’un projet collaboratif, destiné à créer une gamme de nouveaux produits, plus design, susceptibles d’être distribués dans les circuits traditionnels du marché funéraire… le chemin parcouru par la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de la Haute-Vienne est remarquable.
10 ans plus tard, la structure existante qui a supporté toutes les actions réalisées jusque-là se voit évoluer pour pouvoir aller encore plus loin et assumer toutes les missions qu’elle s’est fixées. Quoi qu’il en soit, création, innovation, partenariat, accompagnement, formation et soutient restent les maîtres-mots de Jean Exner, directeur de la Chambre de métiers, et de l’ensemble de son équipe, dont l’esprit d’initiative est toujours aussi prolixe. Rencontre…
Dirigeant accompli ayant déjà œuvré dans divers secteurs d’activité, Alain Cottet a succédé, fin 2020, à Philippe Lerouge à la tête du Groupe OGF. Depuis sa prise de fonction, c’est en chef d’entreprise averti qu’il a pris le temps d’observer et d’analyser l’écosystème funéraire.
Ses premières conclusions laissent peu de place au doute. Les évolutions à court et moyen terme du marché ainsi que la digitalisation, pour ne citer qu’elles, vont entraîner un bouleversement de l’ensemble des métiers de la branche… Explications !
À l’approche de FUNÉRAIRE PARIS 2021, salon créé par la Chambre Syndicale Nationale de l’Art Funéraire (CSNAF), dont il est le président depuis 2016, Aubin de Magnienville nous confie ses attentes pour l’évènement.
Il évoquera également les grands chantiers et autres combats qu’il a entamés en tant que représentant et défenseur de la filière fournisseurs du secteur funéraire. Son second mandat touche à sa fin, et il reste pourtant fort à faire au regard des évolutions du marché, mais, aussi et surtout, des pénuries de matières premières, conséquence directe de la crise sanitaire.
Le combat pour la liberté des familles dans le choix de leur opérateur funéraire se poursuit avec le Mouvement "Je Choisis Mes Pompes Funèbres". Plusieurs documents, comme les recommandations de l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) ou encore le courrier de Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, viennent réaffirmer cette liberté fondamentale. Comment agir ? Rencontre avec Ophélie Chauffert, porte-parole du Mouvement "JCMPF".
Depuis septembre 2020 et l’arrivée du nouveau secrétaire général Olivier Vérité, la Confédération des Professionnels du Funéraire et de la Marbrerie (CPFM) est entrée dans une nouvelle dynamique, et n’a de cesse d’évoluer pour toujours mieux accompagner ses adhérents. Nous rencontrons aujourd’hui les deux co-présidents de la fédération, Michel Marchetti, co-président depuis 2006, et Guillaume Fontaine, co-président fraîchement nommé en juin 2021.
Créé et piloté par la Chambre Syndicale Nationale de l’Art Funéraire (CSNAF) depuis 1987, le salon FUNÉRAIRE PARIS 2021, dont l’organisation a été confiée pour cette édition à Paris People Show (PPS), sera le premier évènement d’envergure, post-confinement, dans le secteur funéraire. Très attendue par beaucoup, cette édition devrait être à la hauteur, tant en matière de vitrine grâce aux nombreux exposants qui ont répondu présents, que des garanties offertes par l’organisation au regard du protocole sanitaire qui sera appliqué durant toute la manifestation. Philippe Piot, directeur du salon, nous en dit plus…
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