Chose plutôt rare d’un secteur dont l’image se veut des plus traditionnelles, "SIMO Cercueils", marque de JH Industries SAS, filiale du Groupe Huet, démontre une véritable propension à l’innovation. Éco-conception des produits, agencement et gestion des espaces de présentation physique puis virtuelle "online", sont autant de procédés que la marque a développés, ces dernières années, dans un esprit pionnier. Aujourd’hui encore, "SIMO Cercueils" fait office de précurseur avec une refonte complète de sa charte graphique, mais aussi et surtout, de ses outils de communication, dont la vocation est, à présent, d’être beaucoup plus pédagogiques, et ce, principalement à destination des opérateurs funéraires, mais aussi des familles… Rencontre avec Bernard Carignant, directeur opérationnel de "SIMO Cercueils".
Promoteur d’une toute nouvelle version de son logiciel de gestion funéraire GIF, la société informatique Day’s Développement en présentera les dernières fonctionnalités ce mois-ci lors du salon FUNÉRAIRE PARIS.
Les courts congés d’été de Conférence Service se sont terminés et chacun a repris ses activités en vue des prochains rendez-vous organisés par l’équipe de la péninsule.
Une fois de plus, les membres du conseil d’administration de la Fédération Française des Pompes Funèbres (FFPF) ont prouvé leur attachement aux rencontres sur le terrain, et le 22 juin dernier, rendez-vous était donné à Canet-en-Roussillon, dans un restaurant bien sympathique, avec une idée en ligne de mire, re-créer une section locale dans cette nouvelle région qu’est l’Occitanie !
La Maison des Obsèques a participé au congrès national de l’UFPF organisé à Lyon. En effet, les deux acteurs ont signé en novembre 2015, un accord visant à développer ensemble un réseau funéraire national pour répondre à l’évolution du marché.
Ce rendez-vous a été l’occasion pour La Maison des Obsèques et l’UPFP de réaffirmer leur volonté de s’engager autour de valeurs communes au service public et aux mutuelles. La Maison des Obsèques a présenté les avancées de ce projet commun.
Trouver une entreprise française où le "fait main" a encore une vraie signification ? C’est possible avec Deyme, une PME située sur les bords de la Loire, à Épercieux-Saint-Paul. Fabricant de présentoirs, d’articles métalliques, de chariots, et disposant d’un service d’aide à l’agencement de magasin, Deyme est le fournisseur de différents secteurs d’activité : manutention, fleuriste, mercerie, sport, médical, boulangerie... et bien sûr les pompes funèbres.
En cette période de Toussaint, beaucoup de nos concitoyens vont rendre hommage à leurs défunts et, de ce fait, vont peut-être réfléchir à leur propre devenir et à leurs funérailles.
Il ne s’agit pas ici de dresser l’étendue des missions que peut assurer un agent public dans un cimetière, mais bien d’en dresser les limites. En effet, si chaque commune doit consacrer à l’inhumation des défunts un (voire plusieurs) terrain(s) spécialement aménagé(s) à cet effet, selon les prescriptions de l’art. L. 2223-1 du Code Général des Collectivités Territoriales (CGCT), ces équipements obligatoires peuvent entraîner le recrutement de personnels chargés de les gérer. Il se peut aussi, en cas d’absence de personnels spécifiquement affectés au cimetière, que des agents communaux affectés à d’autres tâches y interviennent épisodiquement. Quelles sont alors les limites à leurs interventions ? C’est ce que nous allons essayer d’illustrer. Selon les fiches de métiers proposées par le Centre national de la fonction publique territoriale (fiches nos 04/D/27 pour les conservateurs et 10/D/27 pour les agents funéraires), ces fonctionnaires territoriaux sont appelés à gérer les cimetières d’une façon administrative pour les premiers, plus techniques pour les seconds. Néanmoins, deux séries de limites existent et sont transposables à tout autre agent public.
En 2015, l’Institut Français de Formation des Professions du Funéraire (IFFPF) fête ses 20 ans. En attendant de célébrer dignement ce vingtième anniversaire au Salon de Villepinte, notre équipe a souhaité rendre hommage aux anciens stagiaires et collaborateurs.
L’art. L. 2223-33 du Code Général des Collectivités Territoriales (CGCT) dispose que : "À l’exception des formules de financement d’obsèques, sont interdites les offres de services faites en prévision d’obsèques ou pendant un délai de deux mois à compter du décès en vue d’obtenir ou de faire obtenir, soit directement, soit à titre d’intermédiaire, la commande de fournitures ou de prestations liées à un décès. Sont interdites les démarches à domicile ainsi que toutes les démarches effectuées dans le même but sur la voie publique ou dans un lieu ou édifice public ou ouvert au public."
Lorsque j’ai fait ma formation de niveau 6 à l’Institut Français de Formation des Professions du Funéraire (IFFPF) avec Dominique Arotcarena, nous avons eu l’occasion d’évoquer les cauchemars récurrents des fossoyeurs. Il y avait d’ailleurs, parmi les stagiaires, un employé qui y était confronté. Pour ma part, c’était la première fois que j’entendais parler du stress post-traumatique. Je m’étais d’ailleurs étonnée du fait que nous, thanatopracteurs, n’y soyons pas exposés.
La société "Pompes Funèbres Izabelle-Renaud", adhérente du réseau des indépendants Funéplus, est une entreprise familiale depuis trois générations, puisant ses origines dans la menuiserie et le funéraire. Elle est implantée dans la Manche avec trois sites ruraux - Marigny, Percy, Tessy-sur-Vire - ayant chacun un magasin et une chambre funéraire de deux salons. En 2015, après cinq mois de travaux, elle se dote d'un quatrième site avec un grand complexe funéraire dans l'urbaine et préfectorale ville de Saint-Lô... en face de l'historique hôpital Mémorial France États-Unis.
Lorsque l’on est la première SEM funéraire de France, il faut s’attendre à être visitée de façon fréquente. Une pole position suscite toujours de l’intérêt, qu’il s’agisse des pratiques funéraires ou encore de la qualité des produits et services proposés. De nombreuses délégations étrangères ont coutume de se pencher sur le savoir-faire des Pompes Funèbres Intercommunales (PFI) de la région grenobloise, pour établir des comparaisons, mais surtout pour s’inspirer de ce modèle de référence bien français.
Cela n’a pu échapper à personne dans le milieu funéraire. Depuis quelques années déjà, la thanatopraxie se féminise. Fini l’époque où nous pratiquions un "métier d’homme". Les nouvelles recrues sont de plus en plus jeunes et il y a une grande majorité de filles. Ces "vocations" nous interrogent. J’ai profité de la présence d’une future élève thanatopracteur en stage de découverte dans mon entreprise pour lui poser quelques questions.
Lors du prochain salon FUNEXPO, qui se tiendra à Lyon du 20 au 22 novembre prochain, venez découvrir les "Nouveautés" présentées (3e parties).
En avançant, dès 2009, l’idée d’un guichet unique pour les formalités engagées dans le cadre du décès, Éric Woerth a-t-il fait de la France le premier pays d’expérimentation de ce type d’initiative ? Certainement ! Même si l’expérience du Grand-Duché du Luxembourg est intéressante.
FAPE Obsèques a été la première société dans le milieu du funéraire à proposer et à déployer des outils spécifiques pour faciliter le travail des opérateurs funéraires. Soucieux de leur apporter un accompagnement de qualité et de proximité au quotidien, ses équipes spécialisées ont mis à leur disposition des outils de gestion modernes et innovants, simples et faciles à utiliser. Pour aller encore plus loin, de nouvelles fonctionnalités ont été mises en place.
Il y a quelque temps, Laurent Bettoni me contacte, il a lu sur le web les chroniques que je fais dans "Résonance", et il veut savoir si cela m’intéresse de lire son livre. Il m’envoie des extraits du livre à sortir, et je suis sous le charme.
Dans l’attente de les découvrir du 21 au 23 mars 2014 à Bologne, les exposants du prochain salon italien du funéraire vous donnent des informations sur leur participation à TANEXPO grâce à l’initiative "Aspettando TANEXPO", dont une version française est aussi disponible. Vous y retrouverez des nouvelles en avant-première sur le salon, les promotions en cours, les produits et les services présentés, ainsi que des focus sur les entreprises, leur histoire, leur mission.
Fabricant et créateur depuis 1956, la société Jumfil était surtout connue, jusqu'à il y a encore six ans, pour ses lignes de vêtements haut de gamme, sport et nature. Cela étant, après nous avoir présenté Jumfil, son activité et son histoire, Ralph Crolla, président-directeur général de l'entreprise, nous raconte comment, au détour d'une rencontre, il a eu l'idée de créer "Prostyle", pour que les professionnels puissent eux aussi profiter du savoir-faire "Maison".
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